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abolab

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  • Premier article le 30/09/2019
  • Modérateur depuis le 08/10/2019
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    abolab 12 octobre 2019 20:55

    @sls0 Merci de votre intérêt pour ces articles et de vos questionnements.

    Les produits Lubrizol de l’usine de Rouen sont des mélanges de polymères techniques et de produits chimiques très variés, servant d’additifs, qui répondent précisément aux caractéristiques décrites dans cet article.

    En ce qui concerne l’usine de Lubrizol :

    Elle fournit des additifs pour les huiles pour moteurs et autres fluides de transport, des additifs et fluides pour les lubrifiants industriels et des additifs pour l’essence et le carburant diesel.

    Usine de Lubrizol France A propos


    Si vous aviez lu cet autre article, vous auriez appris que :

    Nos huiles de moteurs par exemple peuvent contenir plus de vingt composants chimiques différents.[...] Cela est très complexe, nous mélangeons des composés chimiques et la formulation des mélanges est une grande expertise et un savoir-faire de notre entreprise.

    Eric Schnur - PDG de Lubrizol, CNBC

    D’autre part, Frédéric Poitou est un ingénieur chimiste et un expert judiciaire, pas un simple commentateur du dimanche. Il sait de quoi il parle.

    Les fiches toxicologiques publiées par la Préfecture sont des détails techniques sur les produits existants tels quels dans l’usine, et ne servent donc pas à grand chose étant donné que dans le cadre de cet incendie, comme indiqué sur le site Lubrizol cité dans l’article, ils se sont décomposés en d’autres produits extrêmement dangereux, car biodisponibles, et qui ne sont ni répertoriés, ni évalués en terme de toxicologie, contrairement aux produits présents dans l’usine.



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    abolab 12 octobre 2019 15:28

    @sls0 En matière de dioxines, il n’y a pas de sécurité alimentaire, ou de "seuils de toxicité", car toute dose de dioxines est une dose de trop... La dioxine peut être produite naturellement, par exemple par des volcans, mais la majeure partie est de la dioxine anthropique causée par les incinérateurs industriels, ceux des hôpitaux, certains processus industriels chimiques, ou encore la déforestation anthropique par brûlis pour l’élevage comment en Amérique du Sud et la politique de la terre brûlée de Bolsonaro. Tout cela crée un nuage mondial de pollution chimique. Et pour ceux qui disent que les dioxines ne sont pas volatiles et restent sur place, localement... ce sont des bobards...Même le sable du Sahara est transporté jusqu’en France par les vents.



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    abolab 12 octobre 2019 09:16

    @sls0 Ne mélangeons pas tout. Nous ne parlons pas de pétrole ou d’arsenic, mais de dioxines, produits ô combien plus toxique et dangereux. L’arsenic, à forte dose est cancérigène, mais à très faible dose protège du cancer (double effet).

    Les dioxines quant à elles sont létales à "forte dose" (quelques milligrammes) et également très toxiques à doses infinitésimales (quelques picogrammes).

    Mettez donc s’il vous plaît de côté vos théories sur le PIB et regardez plutôt la réalité. Nous connaissons déjà les effets bien réels de la dioxine, et pour cause, il y a des antécédents de pollution aux dioxines, regardez plutôt ce site :

    https://www.agent-orange-vietnam.org/present/images

    Le niveau moyen de TCCD dans les tissus adipeux est de 15 parties par trillion (ptt) dans les échantillons contaminés du Sud Vietnam, ce qui est trois fois plus que dans des étude épidémiologiques d’échantillons effectués aux Etats-Unis. Les niveaux dans le sang excédaient aussi de trois fois ceux des échantilllons américains (13 ppt vs 4ppt)

    Agent Orange in Vietnam  American Journal of Public Health

    Vous voyez bien que les effets dévastateurs de la dioxine et notamment sur le développement des enfants se traduisent à des doses très faibles, juste trois fois supérieures à celles trouvées en temps "habituel" dans les échantillons biologiques. "Habituel", car la pollution aux dioxines est en fait omniprésente due aux activités industrielles ne filtrant pas les produits de leurs combustions ou de l’air qu’elles polluent via des process de fabrication ou des process chimiques, et pas uniquement due à des catastrophes comme Achères ou Lurizol, ou par des guerres chimiques, comme celle du Vietnam.

    Les résultats d’AtmoNormandie trouve une quantité moyenne de dioxines dans un litre d’eau de pluie 15 fois supérieure à tout ce qui est ingéré par jour aux Etats-Unis, y compris par l’alimentation. Je ne vous fais pas de dessin sur les risques que cela représente, étant donné que l’EFSA a déjà pointé du doigt une contamination de grande échelle des citoyens européens à la dioxine par l’alimentation.

    Peut-être avez vous entendu parler de l’"affaire des bébés nés sans bras", dont il existe approximativement 150 cas en France ? Sans tenir comte des autres malformations congénitales, de l’infertilité et de nombreux autres problèmes d’ordre reproductifs dans la population. La dioxine est un problème sérieux pour la population actuelle et les générations futures.



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    abolab 11 octobre 2019 22:57

    @sls0 Nous parlons de Wood, l’un des pionniers de l’optique infrarouge, entre autres, pas d’un physicien du dimanche. Son expérience est sans appel. J’ai plutôt envie de vous demander une seule publication scientifique démontrant expérimentalement que le rayonnement infrarouge soit capable d’augmenter la température d’un complexe gazeux en intéragissant avec l’un de ses gaz traces. Bonne chance pour trouver une telle publication...



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    abolab 11 octobre 2019 22:48

    @sls0 20 prélèvements locaux de suie par lingette n’ont aucun sens, car la majeure partie de la pollution s’est déplacée sur des centaines voire des milliers de kilomètres avec les vents de sud-ouest qui soufflaient le 26 septembre.

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