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abolab

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  • Premier article le 30/09/2019
  • Modérateur depuis le 08/10/2019
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    abolab 9 octobre 2019 17:47

    @sls0 Votre traduction de l’expérience de Wood est incomplète et je sais d’où elle provient et qui l’a faite. Il s’agit d’un chercheur universitaire très admiratif des travaux du GIEC et qui a volontairement censuré les conclusions de Wood présentes à la fin de l’article.

    Le traducteur omet en effet volontairement de traduire les propos suivants de Wood dans le contexte de l’atmosphère terrestre : "[Je] publie cette note simplement pour attirer l’attention sur le fait que les radiations piégées n’apparaissent avoir qu’un très faible rôle dans les cas actuels avec lesquels nous sommes familiers", ou encore, avec preuve expérimentale à l’appui : "L’idée que l’atmosphère soit réchauffée de manière significative en absorbant les radiations en provenance du sol me semble très douteuse, même dans les conditions les plus favorables".



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    abolab 9 octobre 2019 17:44

    @sls0 Vous avez bien raison, la spectrométrie n’a rien à voir avec la chaleur, alors pourquoi le GIEC fait-il l’amalgame entre rayonnements infrarouges "piégés" dans l’atmosphère et température de l’atmosphère (mesure de la chaleur) ?

    L’expérience de Wood, très simple, montre juste cela : les rayonnements infrarouges piégés n’augmentent pas la température d’un volume d’air. Certes, l’on peut objecter qu’une partie de l’infrarouge est absorbée par le verre, mais dans les deux boîtes c’est pareil, et il devrait y avoir une différence de température si le rayonnement infrarouge était capable de créer un effet cinétique dans l’air, ce qui n’est pas le cas.

    Pas d’effet cinétique causé par le rayonnement infrarouge en provenance du sol implique pas d’augmentation de température en conséquence, et ce n’est pas l’augmentation de quelques centièmes de pourcent en un gaz trace qui est capable de créer une augmentation de la température du fait des rayonnements infrarouges... car tout au plus cet effet cinétique, déjà réfuté expérimentalement, devrait en plus en tout logique être proportionnel à la quantité de gaz traces dans l’air, soit tout au plus une variation équivalente de quelques centièmes de pourcent de la température.

    Je ne suis pas climatosceptique, je suis sceptique de la théorie purement conceptuelle et non expérimentalement démontré, établie par le GIEC, et à juste raison, pour les faits évoqués ci-dessus.

    En matière d’écologie, la molécule à bannir n’est pas le dioxyde (de carbone) anthropique, qui, à l’état de traces, est totalement inoffensive pour l’homme, mais bien plutôt la dioxine et autres POPs, qui eux, à l’état de traces, sont très toxiques et dangereux au long terme pour l’environnement, les animaux et les êtres humains. L’état s’occupe donc à faire une chasse irrationnelle au CO2, et dans le même temps, ne répond pas à ses obligations concernant la convention de Stockholm sur les polluants persistants organiques, qu’il a pourtant signé et ratifié.



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    abolab 9 octobre 2019 10:36

    @sls0 L’INERIS semble aujourd’hui occupé par l’incendie de Lubrizol, autre enfumage majeur des autorités sur la dioxine, et leur site ne fait absolument pas mention dans leur fil d’actualités, en juillet, de l’incendie d’Achères.

    Ce qui laisse présager la totale occultation de cette affaire et l’absence d’enquête de la part de l’INERIS. Aucune communication, plus de trois mois après, sur des mesures de dioxines n’ont été publiées...

    Il semble que le traitement de cette catastrophe industrielle majeure d’un site SEVESO seuil haut soit passée à la trappe, au détriment de l’environnement et de la santé de la population.

    Nous parlons ici en effet de matériaux chimiques particulièrement connus pour leur synthèse de novo de dioxines, et présents en grande quantité, pas de simple câbles électriques ou des plastiques.

    Par vos remarques hors-sujet, vous semblez participer de l’enfumage généralisé et de la minimisation des catastrophes industrielles SEVESO, sans doute devriez-vous postuler pour un poste à la préfecture.



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    abolab 9 octobre 2019 10:22

    @sls0 A l’époque toutes les publications scientifiques étaient publiées dans une revue dite "philosophique", c’était le cas de celles de Newton, d’Herschel, de Wood, etc. Il ne s’agit pas d’auteurs de science-fiction comme Jules Verne... La science moderne repose en grande partie sur les publications parues dans ces revues philosophiques de l’époque.

    En ce qui concerne la température, la spectrométrie peut être trompeuse, car cette technique se base sur l’idée que les gaz absorbent la chaleur...alors que la spectrométrie s’occupe réellement d’optique, c’est-à-dire du trajet/blocage/dispersion de rayonnements et non de thermodynamique...

    Un thermomètre infrarouge ne peut évidemment pas mesurer la température d’un gaz transparent...



  • 1 vote
    abolab 8 octobre 2019 18:52

    @sls0 Ce qui est encore plus étrange est qu’il n’y a aucune communication à propos de la catastrophe d’Achères sur le site de l’INERIS, comme si elle n’avait jamais existé et qu’il n’y a aucune enquête en cours... alors que la production de dioxines semblent très probable.

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