Debrief

Coralie Delaume termine sur cette phrase superbe :
La souveraineté nationale c’est l’autre nom de la démocratie.
 
Cela n’échappe pas à nos élites qui enfoncent le clou de l’Europe pour rejeter la démocratie au profit de la dictature de l’oligarchie.

C’est quand même ahurissant qu’un type, au demeurant président de la république française, puisse imaginer qu’une armée européenne doive être créée pour faire face à la menace Russe.

On se demande si c’est par un aveuglement idéologique mondialiste ou par pure stupidité.

Les arguments de l’interviewée sont clairs et évident. Une armée européenne n’a pas de sens car il n’y a pas d’état Europe et la menace que représente la Russie est nulle si on lui fout la paix et relève d’un rabâchage crétin de la propagande des neocons américains.

On n’a vraiment pas de bol avec nos élites, prêchant dans l’idéologie et agissant dans la complaisance voire dans la trahison. On ne pourrait pas avoir un mec normal et équilibré à ce job un jour ?

Ces personnages du chenil de Radio France sont de purs crétins. Leur "humour" qui s’attaque sans talent au cibles sans danger met en relief leur lâcheté face aux cibles à risque pour lesquelles ils manquent étrangement d’inspiration.
 
Ils en oublient au passage les codes bien-pensants qu’ils affectent de respecter face aux communautés servies par de puissants lobbies et versent dans la vulgarité et le mépris quand l’occasion se présente. Comme un défouloir à leur frustration.
 
De purs crétins.

Le peuple est donc doublement trahi par ses élites.
 
Socialement avec avec un immigrationnisme débridé et qui mène la société dans le mur des conflits communautaires.
 
Économiquement avec la promotion imposée du néolibéralisme mondialiste qui réduit progressivement le monde du travail aux standards du tiers monde et transfert la richesse ainsi gagnée à une infime minorité tout en détruisant l’organisation de la solidarité nationale.
 
La France dans le jus européen n’est plus en effet qu’un vague concept hôtel où viennent se gaver dans une association d’intérêts le monde de la finance et les hauts fonctionnaires. Adieu étique, déontologie. Bonjour paupérisation.

Cette journaliste de France Inter Sonia Devillers est bourrée de préjugés, d’à priori, d’idées reçus, de certitudes et surtout totalement ignorante de toutes les choses en rapport avec la Russie. De plus elle se pose en juge des valeurs morales et démocratiques, désignant les bons et les méchants à l’aune de sa petite culture bobo parisienne.
 
Elle est une caricature du journalisme français. Insupportable !