@Croa Vous avez été entendu, sur plus d’une heure de vidéo, Mélenchon n’est à l’honneur que cinq minutes, le reste, c’est pour la gueule à notre président stagiaire.
Oui, tout cela est normal quand on l’écoute sérieusement.
@thierry3468 Vous avez écouté PYR à ce sujet ? Il a écumé tous les partis et selon lui, les militants UPR sont les pires, car les plus motivés. Si Asselineau se faisait dézinguer, faudrait aussi raser le bureau national, et encore, même pas sûr que ça suffise à étouffer le mouvement (500 signatures sans béquille médiatique, ça veut dire à quel point ils en ont sous le pied les mecs).
Si les anglais tombent en ordre, les français se relèvent dans le désordre, c’est bien connu.
@ldv07 J’y vois plutôt un électorat unique (tous les exclus du processus économique mondialiste) scindé en bastions fortement polarisés (FI pour les sensibilités libérales -au sens moral- et FN pour les conservatrices, clivage ville/campagne comparable au littoral/terres des US) dont les chefs enchaînent les propos radicaux pour bien délimiter leurs territoires cognitifs et faire endosser ces propos à leurs militants.
Le résultat est que des populations identiques en presque tout refusent même de s’adresser la parole. L’UPR apparaît au milieu de tout ça dans l’espoir de dépolariser le débat, être un terrain neutre où l’on peut tous se retrouver TEMPORAIREMENT, le temps d’aller à l’essentiel, comme ce fut le cas en 45.
D’un point de vue sociologique, sur les 28 000 gonz de l’UPR, ce sont principalement des gens dits ’de gauche’, les patriotes de droite sont nettement plus revêches.
Bref, je ne désespère pas qu’on puisse se taper une bière ensemble, un beau jour et s’engueuler le lendemain au sujet d’un référendum...Là, ce sera gagné
S’il vous plait Pégase, vous êtes plus subtil que ça d’habitude. Les électeurs de FI ne sont pas des idiots et ont leurs convictions. L’invective et les vannes ne mènent à rien, si ce n’est à monter les militants les uns contre les autres, alors que merde, on est tous dans la même mouise.
Nous avons un substrat commun qui est de rejeter le modèle politico-économique qui nous est imposé depuis des décennies. C’est la base, alors autant construire autour.
Il serait peut être faisable (du moins, c’est ce que je vais essayer de faire à Toulouse) d’avoir une action commune pour informer la population de l’impasse européiste actuelle, ça on peut le faire ensemble FI-UPR, au niveau militant. Après, réformer ou sortir, on pourra toujours s’écharper dessus, mais seulement quand la majorité des français aura conscience des véritables enjeux.
S’accorder sur l’essentiel et s’écorcher sur les détails, il parait que c’est très français.
Travaillons à trouver ce pôle commun entre les électeurs et abandonnons ces fausses oppositions, ces "sparing partners" construits de toutes pièces, que sont le FN et FI.
Ca me fend le coeur de voir des français défendre ces partis fantoches alors qu’ils ont largement fait preuve de leur duplicité. La France crève, le peuple refuse de s’unir sur les fondamentaux : sortie de l’UE, de l’EURO, de l’OTAN.
La dette, le nucléaire ou l’immigration sont des enjeux essentiels qui ne pourront être pris à bras le corps par référendum que quand Bruxelles sera mis à bas, pas avant.