« La République se régénère sur un monceau de cadavres » écrit Saint-Just
« Il convient de faire de la Vendée un grand cimetière national, afin de purger entièrement le sol de la liberté de cette race maudite. » Général TURREAU.
« Je n’ai point fait de prisonniers. Les soldats de la liberté étaient trop indignés par l’audace de cette horde d’esclaves qui ont osé les déranger de leur dîner. » Général MIESKOWSKI.
« Le comité a pris des mesures qui tendent à exterminer cette race rebelle des vendéens. » BARERE.
« C’est par principe d’humanité que je purge la terre de la Liberté de ces monstres » CARRIER
« Il n’y a plus de Vendée ! Citoyens républicains, elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l’enterrer dans les marais de Savenay, suivant les ordres que vous m’avez donnés. J’ai écrasé les enfants sous les pieds de mes chevaux, massacré les femmes qui au moins pour celles là, n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé… Les routes sont semées de cadavres. Il y en a tant que sur plusieurs points, ils font des pyramides. » Général François WESTERMANN.
ce "mange-merde" d’Ardisson, toujours dans le sens du vent...
je ne partage pas toutes les opinions de Ménard, ou plutôt je trouve qu’il est un peu léger, qu’il n’ose pas aller "trop loin" et cela en fait un "tiède" à mes yeux.
Mais je le soutient car il va dans le bon sens quand même et nous avons besoins de tous ces journalistes et hommes de médias qui osent prendre des risques (et perdre leurs postes parfois ! ) pour l’amour de notre pays et pour la liberté d’expression.
quand à Dieudonné, il est le meilleur humoriste français, et Faurisson est un honnête homme ( on a encore le droit de le penser et de le dire... non ? )
Les dogmes dont tu te réclames sont responsables de terribles désastres au XXième siècle. Partout où ils ont été appliqués, ils ont abouti non pas à l’émancipation des salariés mais à leur asservissement, non pas à l’abondance mais à la pénurie ; non pas à l’égalité mais à l’explosion des privilèges ; non pas à la liberté mais au pouvoir absolu du " chef génial " ; non pas à l’État de droit mais au règne de l’arbitraire et de la répression de masse ; non pas à la démocratie directe des conseils mais à la dictature totalitaire du Parti- État.
Il n’y a pas eu d’exception : cette évolution a eu lieu dans la Russie arriérée et isolée des années 1920 et 1930 aussi bien que dans la Tchécoslovaquie et l’Allemagne de l’Est développées des années 1950 et 1960. Elle s’est imposée en Chine, à Cuba, au Vietnam, à un moment où l’argument trotskiste classique de l’isolement de la Révolution, entraînant sa dégénérescence, ne pouvait plus avoir cours.
La raison de cette dérive totalitaire n’est pas à rechercher dans les circonstances, elle est inscrite dans le projet lui-même. En supprimant les libertés économiques : droits de propriété, liberté d’entreprendre, de gérer, d’échanger ; en marginalisant le marché au profit de la planification centrale, on prive les individus de toute autonomie à l’égard de l’État. Celui-ci peut non seulement les priver de leurs droits civils et politiques, il peut aussi leur couper les vivres. On crée ainsi les conditions de la domination totale. "