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ilias ben

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    ilias ben 7 avril 14:15

    ll est vrai que le don est souvent considéré comme un acte social qui crée un lien entre le donateur et le receveur. Cependant, l’exemple du don anonyme, comme donner de l’argent à un mendiant incognito, montre que cette relation n’est pas toujours obligatoire.

    Exemples de situations où le don anonyme est fréquent :

    _Dons à des organisations caritatives_Dons de sang_Dons de nourriture aux banques alimentaires_Versement de dons dans des urnes anonymes, etc.

    Il n’y a pas de réponse unique et définitive à la question de savoir quand et où la monnaie est apparue pour la première fois.

    Les premières traces de monnaies remontent aux environs de 650 av. J.-C., autour de la mer Égée. C’est à cette époque que les premières pièces métalliques frappées en or et en argent ont été créées, à l’initiative de quelques monarques.

    Cependant, il est important de noter que des formes de monnaie plus anciennes existaient probablement avant cela. On pense que le troc, l’utilisation de biens "durables" comme les coquillages, les perles ou le bétail comme moyen d’échange, a pu exister dès 10 000 av. J.-C..

    En conclusion, il est difficile de donner une date et unlieu précis à l’apparition de la monnaie. Il est plus juste de dire que la monnaie a évolué progressivement à partir de différentes formes de prémonnaie, à différentes époques et dans différentes régions du monde.

    La thèse de Graber, qui propose une alternative à la théorie classique de Smith sur l’origine de la monnaie rappelle effectivement des points importants sur la base defaits historiques avérés, mais qu’on doit contextualiser si l’on veut une appréhension juste des choses.

    Rappelons les deux thèses :

    _Smith : La monnaie est née du troc, car transporter des biens lourds et peu divisibles était fastidieux. Elle a permis de simplifier les échanges et de faciliter le commerce.

    _Graber : La monnaie n’est pas issue du troc, mais a été créée pour répondre aux besoins d’un système fiscal monétaire. Ce système, apparu vers 650 av. J.-C., nécessitait un moyen d’échange standardisé pour collecter des impôts et financer les services publics.

    Arguments en faveur de la thèse de Graber :

    _Apparition soudaine de la monnaie : La monnaie métallique est apparue assez soudainement vers 650 av. J.-C., ce qui est difficile à expliquer par une simple évolution du troc.

     _Homogénéité des premières monnaies : Les premières pièces frappées étaient remarquablement homogènes en termes de poids et de pureté, ce qui suggère une production centralisée pour un usage spécifique.

    _Lien avec le système fiscal : Les premières mentions de la monnaie sont souvent liées à des contextes fiscaux, comme le paiement de tributs ou d’impôts.

    Arguments contre la thèse de Graber :

    _Existence de formes prémonétaires : Le troc et l’utilisation de biens durables comme monnaie existaient bien avant l’apparition de la monnaie métallique.

    _Avantages du troc : Le troc n’était pas nécessairement si fastidieux qu’on le prétend, et il offrait certains avantages, comme la flexibilité et la possibilité de négocier. _Différences régionales : L’apparition de la monnaie n’a pas été uniforme et s’est déroulée à des rythmes différents dans différentes régions du monde.

    En conclusion, la thèse de Graber est intéressante et apporte un nouvel éclarage sur l’origine de la monnaie. Cependant, elle ne supplante pasentièrement la théorie de Smith, et il est probable que les deux facteurs, la lourdeur dutroc et le besoin d’un système fiscal, ont joué un rôle dans l’apparition de la monnaie.



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    ilias ben 17 février 20:14

    On ne peut tout de go affirmer qu’il y ait sciemment agissement néfaste de manipulation de l’opinion publique, ou du moins un tropisme ou des biais calculés stratégiquement en solo ou avec des tiers, de la part des moteurs de recherche, du moins ceux usuels dans le monde occidental. Face à cette incertitude de pouvoir accuser cesdits moteurs d’actions à intentions de conditionnement et de manipulation des utilisateurs, je n’ai pour l’instant que de faire un appel via un plaidoyer. Plaidoyer Pour une transparence accrue et périodiquement actualisée des moteurs de recherche, dans la production des résultats de recherche aux requêtes des utilisateurs. Dans l’univers "jungle" de la recherche en ligne, chaque requête d’un utilisateur déclenche un processus algorithmique sophistiqué de tri et de présentation des résultats par les moteurs de recherche. Derrière cette apparente simplicité d’ordonnancement de grandes masses de données de tous supports et en tous genres, d’ informations génériques et subséquentes et de connaissances de toutes natures thématiques, se cachent des mécanismes qui méritent d’être scrutés de plus près. Lorsqu’un utilisateur lance une requête, les moteurs de recherche parcourent un vaste espace "cosmique" d’URL à la recherche de correspondances avec les mots-clés saisis. Ce premier comptage brut offre une multitude de résultats potentiels. Cependant, pour assurer la commodité d’exploitation des résultats et s’essayer à améliorer l’expérience de l’utilisateur, les moteurs de recherche appliquent un filtrage de pertinence. Ce filtre vise à éliminer les résultats jugés moins significatifs, hors-sujet ou même fallacieux, selon les critères établis par le moteur de recherche lui-même. Cette technique présente un avantage indéniable : elle permet à l’utilisateur de trouver plus facilement des informations pertinentes et pouvoir ainsi mieux les exploiter. Pourtant, elle soulève également des questions légitimes concernant l’opacité entourant le fonctionnement de ces filtres. Comment les moteurs de recherche déterminent-ils la pertinence d’un résultat ? Comment évaluent-ils la signification décroissante, celle hors-sujet et celle fallacieuse ? Il est impératif que les moteurs de recherche travaillent activement à dissiper cette opacité. Les utilisateurs ne devraient pas être laissés dans le doute quant aux critères utilisés pour filtrer les résultats de leurs recherches. La transparence est essentielle pour établir et maintenir la confiance des utilisateurs dans ces plateformes. De plus, les organisations publiques et communautaires qui régissent la déontologie//régulation de l’internet ont un rôle crucial à jouer dans ce domaine. Elles doivent intervenir pour garantir l’inscription de dispositions déontologiques//régulatrices, exigeant des moteurs de recherche une transparence totale dans le déploiement de leurs filtres de pertinence et de signification. In fine, il est temps que les moteurs de recherche prennent des mesures concrètes pour assurer une transparence accrue dans la présentation des résultats de recherche. Cette transparence est non seulement nécessaire : 1] pour répondre aux attentes des utilisateurs, mais elle contribue également 2.] à préserver l’intégrité et la fiabilité de l’ensemble du système de recherche en ligne.



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    ilias ben 5 février 21:11

    L’explication scientifique n’est pas la compréhension scientifique.La physique quantique est plus ou moins bien expliquée, tout comme la gravitation ou certains arts et métiers de l’ingénierie. Mais aussi bien la gravitation, certains arts et métiers de l’ingénierie que la physique quantique ne sont pas bien compris. L’explication scientifique a pour principal objectif la réponse au comment d’un phénomène quelconque ou processus de la nature, tandis que la compréhension s’occupe tant bien que mal et difficilement, de la réponse au pourquoi de ces phénomènes et processus de la nature. Le conférencier sur effet d’enthousiasme non contrôlé, amalgame les 2 états d’esprit observateurs du monde et de ses phénomènes et induit ainsi en erreur ses auditeurs.



  • 2 votes
    ilias ben 20 octobre 2018 12:16
    A l’entame de mon commentaire, je précise que je ne suis pas du bord politique FI, et que j’ai été parmi les sympathisants du MODEM, et que je suis pour une économie ( sociale, par défaut d’appellation acceptée par tous ) sans des laissés pour compte ( petites gens ou autres ),en endogeinisant leurs besoins et leur part de la richesse nationale ( valeur ajoutée oi surplus ) ; et pour un libéralisme politique à large participation verticale et représentation citoyenne de proximité. C’est clair et net que c’est une machination politique, colorée d’une procédure formaliste.Et cela comme revanche des macroniens, adeptes et sympathisants, sur les positions de la FI et Mélenchon sur l’affaire Benalla, d’autres affaires et sur certains projets de loi. A ce que je pense, c’est pas pour des affaires à qualification de délit pénal, qu’on ressort tout d’un coup, le procédé de la perquisition d’office, et de plus à l’encontre d’un homme politique, chef d’un mouvement FI, député, ancien ministre et candidat Président de la République.Il y’a sûrement anguille sous roche de règlements de compte politiciens de la part de Macron et le mouvement LREM majoritaire dans l’executif, dans l’Assemblée et par sympathisants cooptés ou copinés ou clientélisés, dans les strates de la haute Administration publique et même le parquet, la police et la gendarmerie. C’est gravissime comme dérapage de l’autoritarisme improductif macronien ; et il est du devoir de chaque français d’honneur de dénoncer cet abus intempestif de pouvoir de la part du Pdt Macron et de sa clientèle politique. Le leader de la FI a entièrement raison sur la rocambolesque injuste perquisition. Ces cancres de LREM blottis au parquet et dans les services de sécurite ont sévi outrageusement sur cette affaire, sur signaux de leurs mentors.Lesquels agissent pareillement comme MBS de l’AS, à la différence d’un moindre degré dans l’horreur macabre.


  • 1 vote
    ilias ben 20 octobre 2018 12:13
    Le leader de LFI était dans son droit de réagir promptement et fermement sur l’affaire des perquisitions d’office, toutes ordonnées par le parquet et non par un magistrat du siège sur de prétendues infractions aux textes légaux et réglementaires relatifs au financement de la campagne électorale des présidentielles 2017. On ne procède pas pour de tels délits de financement de campagnes électorales, par des perquisitions parquet d’office.Conformément au corpus juridique et jurisprudentiel relatif à l’action pénale, le recours à une telle procédure doit être l’exception et non la règle. Elle doit être réservée à des affaires criminelles à règlement d’urgence pour prévenir toutes retombées forts probables sur la sécurité collective/ sociétale générale et la sûreté collective/individuelle des biens et des personnes. N’étant pas estampillée par la magistrature siège, la perquisition parquet relève de ce qu’on appelle les mesures conservatoires de l’ordre pénal, donc des mesures à caractère provisoire enclenchées pour des considérations d’urgence de défense/sauvegarde de la paix civile au sein de la société.
    Et à l’occasion de cette affaire, le

    fonctionnement des médias en France n’a pas été du tout honorable, de la part de la majorité des chaînes TV, de la presse quotidienne et de certains magazines. Ils ont tous montré une partialité insidieuse, assise sur un formatage moutonnier sur l’information à distiller presque copie conforme dans le fond, par les supports médiatiques tous bords politiques/idéologiques confondus : gauche/droite/centre gauche/centre droit/extrême droite/people et genre.

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