Il y a aussi les dégâts plus que modestes sur la base, à croire qu’il n’y avait pas de têtes explosives dans les missiles et qu’elle ait été évacuée avant la frappe. Le virage à 180 degrés de Trump avec les relations russo-syriennes en très peu de temps et qu’il n’attende pas la moindre preuve du coupable de l’attaque chimique pour envoyer les tomahawks, le fait qu’il ait déjà démontrer par des actions sa volonté d’anéantir vraiment l’EI. Plus en effet, les système de défense qui ne fonctionnent pas. Ça commence à sentir vraiment un accord préalable entre les trois pays, pour donner plus de latitude à Trump avec ses problèmes de politique intérieur.
Juste pour en rajouter une couche, comme si ça ne suffisait pas. Le petit patron de pizzeria est classé dans les 50 personnes les plus puissantes de Washington, a reçu la visite d’Obwanna et à fait au moins 3 visites répertoriées à la maison blanche. Pour moi cette affaire est classée, et je suspendrai bien tout ces salopards par les couilles. Avec le nombre hallucinant d’indices et d’infos qui se recoupent et dont la liste s’allonge de jour en jour, ne pas faire d’enquête prouve juste qu’on touche le fond du fond du baril, et que Quaspard et les autres vrai négationnistes sont ce que l’on trouve dans le fond. Quaspard de la nuit est un troll du type noyeur de poisson, assez habile, mais sans aucune conscience. Vous n’avez pas remarqué qu’il passe sa vie sur avox ???
Ces problèmes ne se limitent pas au scénario de l’avion que ne se crashe pas là où
c’est prévu. Dans le cas ou les avions réussiraient à se crasher comme prévu dans les
tours, il reste encore possible – même si peu probable – qu’il y ait des survivants.
Admettons tout de même que tout le monde soit tué, de vrais crashs avec de vrais
passagers laisse derrière de vrais cadavres. Ils ne se vaporisent pas comme dans le
dessin animé du 11 septembre. Vous devez vous soucier des centaines de corps
susceptibles d’être retrouvés. Si ils avaient été tués avec du gaz avant le crash,
vous vous trouvez devant le même cauchemar de dissimulation des indices judiciaires,
comme pour le scénario dans lequel les avions ratent leur cible.
Et si vous évitez ce problème en comptant sur le fait que tout le monde a été tué dans
le crash, vous êtes devant le risque horrible d’avoir des douzaines de survivants à
devoir faire taire – peu probable si l’avion a frappé correctement sa cible – mais
vous n’en êtes pas absolument sûr.
En plus, de vrais avions laissent derrière de vrais épaves – pas comme dans le dessin
animé du 11 septembre – ce qui veut dire que de vrais boites noires seront trouvées et
d’autres pièces encore qu’il faudra dissimuler, mettant en cause des officiels
innocents sur lesquels il faudra faire pression. Naturellement, on peut imposer
d’énormes pressions, mais le problème est la quantité de fuites qui se produiront
avant que la pression médiatique ne produise son effet. Tout ceci est nettement pire
que ce qu’un petit nombre de témoins pourraient raconter pendant les 18 minutes qui
séparent les deux frappes, et ce qu’une chercheuse marginalisée peut poster sur son
site web en espérant que les gens s’en apercevront.
Comme vous pouvez voir, le scénario d’utiliser de vrais avions crée un cauchemar
logistique comparé au problèmes minimes créés par le peu de témoins de l’engin réel,
et par les conspirationistes cinglés qui analysent les vidéos – facilement éliminés
par les médias complaisants.
Quand on commet un crime, l’idée est ne ne laisser derrière soi aussi peu de désordre
que possible, parce que le moindre élément de désordre est un indice potentiel. Même
dans le cas d’un crash réussi, un avion réel, en répandant partout des débris et des
corps, crée une quantité énorme d’éléments désordonnés à camoufler, en comparaison du
problème relativement net provoqué par le peu de témoins et les quelques
conspirationistes cinglés qui essayent de dire aux gens ce qui est montré dans les
vidéos.
Les problèmes avec le scénario du vrais avion sont énormes et se cumulent avec la
possibilité d’un crash raté, dont la probabilité augmente significativement en cas
d’utilisation d’un gros avion de transport à réaction qui n’est pas spécialement conçu
pour cette tâche, contrairement aux armement de précision qui sont bien plus fiables.
Dans la situation improbable d’un missile qui raterait sa cible, il y aurait beaucoup
moins de désordre qui laisserait des éléments de preuve, et un option de type "plan B"
est plus facile à choisir, comme l’histoire des terroristes qui ont volé des missiles
pour les tirer sur New-York.
Cette explication devrait, espérons le, mettre fin une fois pour toutes à ce roman de
science-fiction d’amour des avions [plane hugging fantasy] – mais cependant, les temps
que nous vivons sont vraiment extrêmement idiots.