@yoananda Le pire étant que l’homme n’a pas besoin de divorcer pour que l’état lui prenne ce qu’il faut pour entretenir l’autre moitié biologique.
Combien de mères célibataires qui n’ont jamais été en couple, ou juste le temps d’avoir un enfant ou plus, et sont bien contentes de solliciter et recevoir toutes les allocations et aides qu’il faut ? L’homme ne pouvant prétendre à tous ces avantages. Il me semble que ce sont plusieurs dizaines de milliers au bas mot s’ajoutant aux divorcées. Et cela joue aussi de manière significative sur le logement.
Et mathématiquement, ce sont les hommes qui payent pour cela.
Parler de "liberté d’expression" en soi revient à parler de vent. Il est essentiel d’aller au delà de ces deux mots ! Il est indispensable de parler de parler de la "liberté d’expression de quoi". Ainsi vouloir l’autorisation de parler de la place d’une certaine communauté dans les hautes sphères de la société est l’expression du désir du droit d’une réflexion. Et parler du droit à dire "Nique la France" est la liberté d’expression d’agressivité, de vulgarité, et éventuellement de déclaration de guerre, basse ou haute intensité peut importe. En soi, oui, à mon sens on peut considérer le droit de l’exprimer, mais il manque alors toujours le droit d’en tirer les conclusions que l’on veut. Donc parler de "liberté d’expression", tout court, est bon pour les sphères de salons philosophiques. Sinon, on descend au niveau politique de la question, et il est obligatoire d’ajouter le cran qui manque toujours, et le fond qui sous-tend. Or lorsque l’on approche de la suite de cette question que tout le monde sent instinctivement, d’où les discussions, médias et autres font toujours revenir d’un petit saut dans la question philosophique essentialiste, créant alors une boucle cognitive absurde.