Très drôle.
Mais blague
à part, il y’ a une analogie avec les parents de jeunes jihadistes.
Dans les
deux c as, il s’agit d’un combat politique (l’un se mène par les urnes et l’autre
par les armes) et d’un conflit de génération avec des parents qui ne
comprennent pas les choix de leurs enfants qui va combattre au coté de ceux qu’ils
considèrent comme le diable (« le terroriste » ou le « facho »,
deux jugements de valeurs modernes qui signifient le « Mal absolu »).
Avant-hier,
j’ai discuté avec mon boulanger dont le fils, un jeune étudiant sans problème, est
parti en Syrie. Il est aussi atterré que ce père (plus même puisqu’ il peut
perdre la vie). Il ne comprend pas.