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Commentaire de eau_du

sur Folie du nucléaire et de ses conséquences hyper-coûteuses : l'épineuse problématique du stockage des déchets radioactifs


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eau_du eau_du 5 janvier 2017 15:43

Bonjour,
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La mine d’Asse est une ancienne mine de sel en Basse-Saxe, qui a été exploitée depuis 1965 comme mine de recherches, et entre 1967 et 1978 comme site d’essais techniques en vraie grandeur, et en utilisation finale pour le stockage des déchets radioactifs en couche géologique profonde.
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Alors que le drame de Bure de janvier 2016 rappelle les risques liés à l’enfouissement des déchets nucléaires, les Allemands ont décidé il y a quelques années, sous la contrainte d’un risque de catastrophe majeure, de faire machine arrière et d’évacuer un site où ils avaient entreposé 126.000 barils radioactifs.
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Ce n’est pas encore le Titanic mais les Allemands veulent éviter que cela le devienne. L’ancienne mine de sel d’Asse, en Basse-Saxe, prend l’eau et pourrait bien, à terme, être noyée. Le problème est que depuis 50 ans, on n’y exploite plus le chlorure de sodium, mais on y stocke les déchets radioactifs des plus anciennes centrales nucléaires allemandes. Un engloutissement contaminerait de façon désastreuse les nappes phréatiques alentour et pourrait rendre toute la région inhabitable.
https://reporterre.net/En-Allemagne-aussi-les-dechets-nucleaires-s-accumulent-sans-solution-fiable
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Les infiltrations d’eau dans les parois de la saline ont atteint un tel point qu’un “désenfouissement” des déchets est devenu indispensable pour éviter la catastrophe. L’opération, extrêmement délicate, a commencé en 2010. Si elle témoigne d’une volonté politique de répondre aux exigences de la sortie du nucléaire allemande, rien n’a pour autant jamais été décidé sur le sort à long terme des déchets remontés. Car si le sel est soluble, la question du stockage des déchets nucléaires, elle, ne l’est toujours pas.
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L’histoire d’Asse avec l’atome commence au début des années 1960. L’Allemagne se lance alors dans le nucléaire civil et découvre les vicissitudes du traitement des déchets d’uranium et de plutonium. La mine de sel, qui arrive en fin d’exploitation, est alors achetée par l’Etat, qui en fait un centre de recherche et d’expérimentation. L’ambition est la même que pour le projet Cigéo de Bure (Meuse), un enfouissement en haute profondeur, au-delà de 500 mètres.
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Alors les français devront tirer les bonnes conclusions d’ASSE !
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Il n’existe pas de solution fiable pour le stockage des déchets radioactives à moyen et encore moins à long terme.
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Il faut sortir du nucléaire et passer aux éoliennes.
Les frais de gestion des déchets nucléaires vont atteindre des sommes pharaoniques !
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La compagnie danoise Vestas a mis à l’essai en janvier 2014 sa nouvelle turbine V164 de 8 MW, dont le mât de 140 mètres de haut et le rotor de 164 mètres de diamètre atteint une hauteur totale de 220 mètres.
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Il existe des différents types d’éoliennes :
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http://ecologie.blog.lemonde.fr/2015/05/19/bientot-des-eoliennes-sans-pales/
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http://www.energieplus-lesite.be/index.php?id=16657
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http://bricolsec.canalblog.com/archives/2008/07/11/9834639.html
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http://projets-ima.plil.net/mediawiki/index.php?title=%C3%89olienne_%C3%A0_axe_vertical
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http://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/l-invention-d-un-chercheur-127253
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http://www.consoglobe.com/invelox-des-eoliennes-souterraines-cg
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http://www.faiteslepleindavenir.com/2015/09/17/sheerwind-le-tunnel-a-vent/
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http://www.lavoixdunord.fr/70142/article/2016-11-06/le-parc-eolien-le-louveng-sortira-de-terre-en-2017
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Éoliennes pour particuliers
https://www.comptoireolien.fr/eoliennes-verticales/index.html
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