@maQiavel
« Est-ce qu’on choisit la protection des Français, ou
est-ce qu’on choisit ce qu’on appelle pompeusement l’Etat de droit »
ha oui ok. Je n’écoute pas Zemmour, ou très rarement. Ok. Je penses qu’il y a une grande latitude d’interprétation cependant, surtout le "pompeuseument", mais soit. Ça ne veut pas dire que les gens achètent les bouquin de Zemmour pour la critique de l’état de droit. Mais c’est sûr que son influence préalable banalise l’idée. Menfin bon, si l’état de droit ne fonctionne plus, c’est un peu normal qu’on le remettre en question, non ?
Pour prendre une analogie, le plus dangereux
avec les fascistes dans les années 20, ce n’était pas la violence de leurs
militants ( qui était probante), c’était leur capacité à intégrer l’appareil d’Etat.
Je penses que tu fais erreur à séparer les violents des non violents au sein d’un même mouvement idéologique. Ce qui fait la dangerosité c’est le combinaison "violent / non violent". Dans le cas présent de l’ED actuelle, il n’y a QUE la composante non violente.
C’est Peter Gelderos (désolé me souvient jamais de l’orthographe) "comment la non violence protège l’état" qui a fait un petit bouquin sur le sujet qui m’a ouvert les yeux sur la manière dont on perçoit (à tort) la non violence.
Tu as des exemples historique de mouvements entièrement non violents (donc sans copain violents à coté) qui ont viré vinaigre une fois arrivé au pouvoir ?