"The show must go on" Le dernier jeu vidéo expliqué par LCI, les astuces, stratégies, erreurs à ne pas commettre

"On dit il faut pas désespérer, bille en cour (Billancourt ?)" : Bille en tête dans la couleur. Couleur annoncée.
"Il faut dire la vérité, voilà ... Nous sommes journalistes et on se doit de dire quand ça progresse, on se doit de dire quand ça stagne" Jounalistes auto-dénommés. Au secours. Quand ça stagne mais pas quand c’est la cata : bille en cour. "les pertes sont énormes" objectif des russes donc ça ne stagne pas trop.
"L’ennemi oppose une puissante résistance, nous adoptons à la fois des positions offensives et défensives" Les 2 à la fois : n’importe quoi.

"montée en gamme des russes, ils sont bien mieux préparés [qu’avant]" Et oui maintenant ils ont des chaussures, ils ont raccommodé leur treillis et ils ont droit à un café après le sandwich au saindoux. Le "avant" c’était leur racontards, ils sont incapables de dire qu’ils s’étaient trompés, c’est simplement une amélioration inattendue

La suite ils baragouinent : "les ukrainiens sont bien informés mais ils faut la reconnaissance offensive" Comme si les russes en étaient incapables. Il est sûr que les russes ont leurs espions au sein même du commandement militaire ukrainien, vu la corruption, les frappes ciblée quotidiennes et la quantité de russophones en Ukraine à commencer par Zelenski (Tytelman ...) et les ukrainiens doivent bien avoir leurs services aussi (8 millions d’ukrainiens en Russie dont 3,5 de réfugiés), mais ce doit être un peu plus difficile vu les résultats.

Les mines : ils n’ont rien compris, la plupart des mines sont envoyée par roquettes et activées à distance. Pour traverser un champ de mines on met un démineur devant et les chars derrière, pourquoi se forme une colonne : il y a de nombreuses raisons plus ou moins raisonnables mais compréhensive dans une logique d’attaque concentrée sur un point. L’histoire c’est que les russes auraient du les attendre pieds nus, déguenillés, mal armés et bourrés de vodka : mauvaises infos délivrées par nos agents poutiniens bien connus. Les types se font démolir le démineur devant, les russes ratent le 2ème mais le tir touche le dernier qui crame. Le 2ème heureux d’avoir échappé double le démineur sans probème le 3 ème le suit et explose. Devant c’est mort, derrière c’est mort, sur les côtés c’est miné : massacre. Autre stratégie le démineur démine, on démine le démineur, les autres font demi-tour sur le terrain déminé. Manque de bol les russes ont tiré et activé des mines avec des roquettes derrière les chars restés sans démineur : massacre.
Ce qu’il ne dit pas le militaire expert de la guerre 14 c’est que les mines (russes ?) ont évolué : on les active ou désactive à distance et quand on veut : ça aide beaucoup. Le type il lui faut une mise à jour. No problems, "ce n’est pas décourageant, c’est normal" : nous sommes des journalistes et des experts nous nous devons de dire quand c’est la cata.
"Aumônier pour les morts médecin pour les blessés" En tant qu’expert ils ne sait plus que le ratio est au moins de 1 pour 2. Cad s’il y a 200 blessés il y a eu 100 morts et vu la configuration massacre le ratio est peut-être 1:1 vu les difficulté d’évacuation. Mais si les toubibs travaillent c’est qu’il y a de blessés évacués. On a pas de rush d’aumôniers.

Bon j’arrête le show ici ils sont nazes et comme dit le Gros "blablablablabla et blabla

et grand merci " au Gros Buvard pour sa contribution.

Pour plus d’infos : Mark Sleboda explique l’offensive ukrainienne à l’aube de la troisième semaine : Une bataille de mine. Avec humour, cruement, magistralement mais en anglais. À ne pas rater pour ceux qui comprennent l’anglais. Dommage pour le Gros.