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Les commentaires de FrenchDissent



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    FrenchDissent FrenchDissent 26 août 2011 15:43

    Outre les fonctionnaires oisifs je pense également qu’il y a pas mal d’étudiants politisés par leurs profs d’économie ou de sociologie et cela explique en effet la sur-représentation des commentaires pro-collectivistes et pro-étatiques sur ce site. 



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    FrenchDissent FrenchDissent 20 août 2011 14:10

    A commencer par les socialistes de droite et de gauche qui ont acheté leur électorat boomer en endettant le pays pour au mois deux générations. Et puis tous ceux qui ont relayé leur propagande étatique. 1789 is back.



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    FrenchDissent FrenchDissent 20 août 2011 14:02

    L’idéal serait une flat tax à 0%



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    FrenchDissent FrenchDissent 17 juin 2011 06:28

    Il faudrait demander à kevinz1985 sur youtube et dailymotion, c’est lui qui a fait la vidéo.



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    FrenchDissent FrenchDissent 11 mars 2011 22:18

    les plans de relance keynésiens *ironie*



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    FrenchDissent FrenchDissent 11 mars 2011 18:58

    les billets de banques non plus



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    FrenchDissent FrenchDissent 10 mars 2011 16:10

    c’est votre cuistrerie qui est insupportable



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    FrenchDissent FrenchDissent 10 mars 2011 15:58
    **Si l’or était 100 fois sous évalué, cela voudrait dire que l’économie de marché qui détermine son prix est totalement inepte et donc tout le système qui se base dessus, or toutes les écoles économiques dont la vôtre font du prix de marché le fondement de leurs théories.**
    La production de monnaie est nationalisée, monopolisée, planifiée. Ce n’est pas du tout le marché à l’oeuvre puisque les états interdisent l’usage de l’or ou de monnaies alternatives, son intervention modifie l’offre et la demande, le prix est forcément déformé.

    **Si l’étalon monétaire or a fonctionné autrefois, c’est parce que la quantité d’or extraite était cohérente avec le développement de l’économie, mais ce n’est plus le cas depuis environ 50 ans. D’autre part toutes les écoles économiques dont la vôtre font de la relation entre la masse monétaire et la richesse produite un fondement de leurs théorie.**
    Non ce n’est pas un problème, c’est ce qui s’est passé jusqu’à la première guerre mondiale, la production de biens était supérieure à l’émission monétaire. La même quantité d’argent peut acheter davantage de biens, c’est la déflation qui est la norme dans un système monétaire sain. Votre argent prend de la valeur et votre pouvoir d’achat augmente même sans augmentation de salaire. Dans le secteur des technologies informatiques, l’augmentation de productivité et d’efficacité est telle que la déflation outrepasse l’inflation, ce n’est pas le cas de l’agro-alimentaire par exemple.

    **Si on ramène la valeur de l’or à la masse monétaire en multipliant san prix unitaire par 100, alors toute les activités dépendant de l’or en dehors de la thésaurisation s’écrouleront, or elles représentent plus de 60% du total et sont essentielles (bijouterie, électronique,...).
    Autrement dit, l’immense majorité des utilisations actuelles de l’or n’est pas monétaire.**
    Si ces activités sont suffisamment essentielles elles subsisteront. Sinon c’est que la production monétaire est une activité encore plus essentielle et elles devront développer de nouveaux business modèles. Dans tous les cas elles n’ont pas à être protéger au détriment des autres. 

    **L’or par transaction "électronique" n’est pas plus crédible que n’importe quelle autre devise, rien ne vous garantira jamais que la contre-partite physique existe.**
    C’est l’interet de supprimer les monopoles.Les gens ont au moins la possibilité de choisir (réputation, agences de notation, associations de consommateurs etc.) 
    plutôt que d’être offerts pieds et mains liés à l’étalon-Trichet ou Greenspan.


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    FrenchDissent FrenchDissent 9 mars 2011 15:37

    Moi je ne comprend pas qu’on puisse encore être keynésien. Ça fait des années que des types comme Krugman ou Bernanke se trompent de manière consistante dans leurs prédictions. 



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    FrenchDissent FrenchDissent 9 mars 2011 10:55

    pour ceux que ça intéresse l’outil de représentation graphique des statistiques utilisé par Hans Rosling est disponible à cette adresse : http://www.gapminder.org/



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    FrenchDissent FrenchDissent 9 mars 2011 00:08

    Lordon lol



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    FrenchDissent FrenchDissent 7 mars 2011 16:45

    bonne vidéo



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    FrenchDissent FrenchDissent 6 mars 2011 00:22

    Ils ont tous les deux le mérite d’être anti-UE. La différence est que Farage est libéral tandis que NDA est socialiste.



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    FrenchDissent FrenchDissent 4 mars 2011 14:28

    Merci pour ces conseils. Malheureusement pour le pays, les dirigeants politiques ne sont pas aussi compétents dans la gestion de l’économie que dans leurs numéros d’illusionniste.



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    FrenchDissent FrenchDissent 3 février 2011 03:32

    Malheureusement les hommes de l’état n’ont jamais prélevé autant d’impôts de toute l’histoire, même la France d’Ancien Régime fait figure de paradis fiscal, la différence est qu’aujourd’hui trop d’individus dépendent de l’état pour espérer une révolution. Finalement les fonctionnaires constituent la nouvelle petite noblesse et les médias subventionnés sont le nouveau clergé en charge de relayer la propagande étatiste.



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    FrenchDissent FrenchDissent 28 janvier 2011 23:00

    il faudrait pour cela inventer les moyens politiques d’empêcher la centralisation des banques

    Pas besoin, ce n’est pas un problème qu’une monnaie devienne monopolistique. Le problème réside dans le monopole légal et les barrières à l’entrée. C’est comme n’importe quel service, si il se dégrade trop les gens souhaitent changer de fournisseurs, on trouve alors des capitalistes avides d’argents pour fournir un service similaire sur le marché.
    La Fed est une banque privée mais qui a un monopole dont elle ne pourrait bénéficier sans la force du gouvernement. 


    se succèderait donc des moments de croissance et des moments de décroissance. 
    La récession s’explique par de mauvais investissements qu’il s’agit de supprimer car ils ne correspondent à aucune demande réelle. Sans monnaie fiduciaire il y aurait quand même des crises car c’est dans la nature de l’homme de faire des erreurs. Néanmoins ,sans l’euphorie du crédit abondant, ces entrepreneurs/capitalistes n’auraient pas les moyens de persister dans leur erreur. L’aléa moral introduit pas la banque centrale en tant que prêteur de dernier recours n’existerait plus et il serait impossible de relancer la bulle à l’aide des plans keynésiens financés par la presse à billets.

    En France de Gaulle était favorable à l’étalon-or. Marine Le Pen se dit favorable à l’étalon-or mais elle n’a pas l’air de bien comprendre les implications, je ne sais si cette mesure est dans le programme du FN. Aux Etat-Unis Ron Paul est favorable à un système de banques libres.


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    FrenchDissent FrenchDissent 28 janvier 2011 07:30
    Il faut adosser la monnaie à une contrepartie physique. La monnaie est une marchandise qui permet les échanges et la division du travail. Historiquement il s’agit de l’or, on peut aussi imaginer un panier de métaux précieux. La monnaie fiduciaire est une perversion complète, l’argent est créé sans richesse correspondante, la richesse est détournée vers ceux qui bénéficient  en premier de l’argent nouvellement créé (banques, complexe militaro-industriel, toutes les entreprises connectées au pouvoir politique). Idéalement on supprime les banques centrales qui n’ont été crées que pour satisfaire des intérêts particuliers et collectiviser des risques privés (Napoléon en France, JP Morgan et Rockefeller aux US) et on créé un système de free banking où chaque banque est responsable de ses émissions monétaires. 

    Dans un tel système le taux d’intérêt est régulé par le niveau d’épargne et la demande de crédit : si les gens épargnent au lieu de faire des crédits, le prix du crédit diminue. Si au contraire les gens font pleins de crédit alors le taux d’intérêt augmente : il ne reste pas à 1% pendant des années comme avec le système actuel.

    Tant que le système monétaire n’est pas réformé toutes les réglementations sont des blagues.

    Il y a pleins de ressources sur le sujet, par exemple :
    Sur les cycles économiques :
    http://herve.dequengo.free.fr/Mises/Articles/TACE.htm (admirez l’actualité de cet article écrit en 1936)

    Le cas de l’euro :

    Le cas de la Fed :


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    FrenchDissent FrenchDissent 26 janvier 2011 21:51

    La révolution française est libérale dans une certaine mesure (1789, DDHC), proto-socialiste dans l’autre (1793, la Terreur). Elle fut libérale jusqu’à ce que les révolutionnaires décident de faire de l’état-nation l’unique cadre d’expression de la liberté. Des intellectuels comme Edmund Burke ont mis les anglais en garde contre les dangers du tabula rasa révolutionnaire qui a fait nous farcir Napoléon. 



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    FrenchDissent FrenchDissent 26 janvier 2011 21:33

    Merci pour ces infos.
    De rien !


    Seulement cela ne change pas grand chose à la notion de plus-value, c’est juste que ce que les marxistes voient comme une spoliation, vous vous le voyez comme une rémunération de la prise risque.
    La valeur-travail est la pierre angulaire de la théorie marxiste, on la retire, tout s’écroule. Si le prix de vente du produit en réalité n’a pas à correspondre pas à la quantité de travail incorporé, il n’y a pas de vol.

    Mais du coup, je me demande : pourquoi cette rémunération du risque ne serait pas partagé avec les salariés... ? ça peut paraitre stupide comme ça, oui le patron prend un risque sur ses investissements, mais les salariés en prennent aussi en se formant à un travail dont on aura peut-être plus besoin par la suite... pourquoi partir du principe qu’il n’y a que l’investisseur qui prend un risque ? vous pouvez m’expliquer ?
    Non c’est pas bête. On peut dire que le salarié à sa manière diffère une consommation immédiate pour investir dans une formation. Il s’agit donc d’un risque qu’il prend. Soit il trouve un travail et son risque sera rémunéré par un salaire, ou alors il a pris un mauvais risque (ex : il a étudié l’histoire de l’art médiéval hongrois) et ne peut pas rentabiliser son investissement (du moins monétairement). En fait toutes nos actions comportent une part de risque entre 0 et 1, même le fait de prendre sa voiture pour aller au travail , ces décisions sont prises à la suite d’un calcul individuel plus ou moins informé. Pour ce qui est du capitaliste c’est la même chose, il peut très bien se tromper si l’affaire s’avère non rentable et même perdre tout son investissement initial. Le salarié ne prend aucun risque en vendant sa force de travail, il reçoit un salaire, de toute façon.


    Puis vous réfutez la baisse tendancielle du taux de profit en vous appuyant sur la croissance des 50 dernières années... d’accord, mais vous occultez complètement l’augmentation de l’endettement et l’amélioration de l’accès au crédit ??
    Le système monétaire actuel comporte d’importants défauts, la planification des taux d’intérêt, à des niveaux bien en deçà de ce que le marché libre autoriserait, encourage l’endettement et décourage l’épargne.  Au final il s’agit d’un détournement de richesse à l’origine d’une financiarisation excessive de l’économie et de bulles de malinvestissements.


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    FrenchDissent FrenchDissent 26 janvier 2011 04:14

    Marx utilise la valeur-travail de Smith et Ricardo, la valeur objective d’un produit est égale à la quantité de travail incorporée dans son élaboration. Le prémisse est complètement foireux donc tout ce qui suit est bidon. Selon lui la valeur objective est le prix auquel le capitaliste va vendre le produit, le salaire qui rémunère la quantité de travail devrait donc correspondre à cette valeur objective, si il est inférieur c’est parce que le capitaliste lui vole une partie de son salaire légitime.


    En simple, la valeur d’échange d’un produit est déterminé par les préférences des acteurs du marchés, les préférences sont non seulement individuelles mais elles fluctuent également suivant les circonstances (ex : un verre d’eau n’a pas la même valeur pour une personne située en Bretagne ou au milieu du désert, ou suivant qu’elle ait déjà bu 10 verres ou non).

    Le travailleur donne sa force de travaille en échange d’un salaire, le capitaliste vend le produit au prix du marché, le profit (si il existe) rémunère la prise de risque et la préférence temporelle basse. Tout est échange et il y a échange car les gens ne valorisent pas les mêmes choses, chaque échange consenti correspond donc à un enrichissement mutuel.

    Pour ce qui est de la baisse tendancielle du taux de profit Marx s’appuie sur la concurrence parfaite, un autre concept moisi qu’il a piqué à Smith. Il suffit de regarder la courbe des 50 dernières années pour s’assurer que c’est n’importe quoi.

    Pour apprendre l’économie je conseille plutôt "Comment l’économie croit" d’Irwin Schiff, l’auteur purge actuelle 13 ans de prisons pour désobéissance fiscale à la mafia fédérale.