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attis

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  • Premier article le 25/07/2015
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Derniers commentaires




  • 1 vote
    attis attis 20 mars 2018 13:05

    @maQiavel
    Je ne connais pas son parcours, et je m’en moque.

    Les pestiférés et les lépreux sont des victimes eux aussi, mais ils sont mis à l’écart de la société. On leur "jette des pierres", symboliques ou non, dans un réflexe tout à fait sain de préservation.

    Le fait que cette femme (ou d’autres cinglés du même genre) soit mise en avant est la preuve que les médias, et le pouvoir qu’ils servent, cherchent à perturber la population en l’exposant à ce type de virus mentaux. L’argent (l’audience que vous évoquiez plus haut) est secondaire : la télévision est avant tout un moyen de contrôle social.



  • 1 vote
    attis attis 20 mars 2018 12:03

    @maQiavel
    Oui, elle est clairement cinglée.

    Et je trouve pour ma part assez sain que les gens lui jettent des pierres.

     

    La question est de savoir pourquoi les médias en général, et la télévision d’état en particulier, donnent une telle exposition à un cas psychiatrique. J’ai quelques petites idées à ce sujet...



  • vote
    attis attis 6 mars 2018 09:45

    Une info amusante sur cette vidéo.

    Pour ceux qui ne parlent pas anglais, le type dit que les youtubeurs les plus populaires ont un "ban button" qui leur permet de bannir d’autres chaînes Youtube. Evidemment, il y a quelques restrictions, mais plus la chaîne Youtube a d’abonnés, moins il y a de restrictions. On peut donc supposer que des chaînes comme celle de CNN, par exemple, peuvent bannir à peu près qui ils veulent.
     
    Oh, et il y a en ce moment une vague de censure assez impressionnante sur toutes les vidéos et chaînes qui osent parler du hoax de Sandy Hook.


  • 1 vote
    attis attis 28 novembre 2017 15:15

    Trente ans plus tard, nous voyons enfin la vraie nature de l’antiracisme né dans les années 80 : c’est en réalité du racisme anti-blanc, ce depuis le début.

    Comme toujours, il faut regarder du côté des États-Unis pour voir ce qui va nous arriver sur le coin de la gueule dans les années à venir, avec des activistes issus de tous les milieux (politique, université, médias...) qui vont appeler plus ou moins ouvertement au génocide des blancs.
    "La parole se libère" comme ils disent... A quand le passage aux actes ?


  • 1 vote
    attis attis 4 novembre 2017 00:47
    Dans la même veine, un joli conte de fées new-yorkais, qui n’est pas sans rappeler certains passages d’American Psycho :
     
    « Un ancien manager de portefeuilles d’un fonds d’investissement créé par le financier George Soros a abusé sexuellement des femmes, d’après une plainte déposée auprès du tribunal fédéral de Brooklyn.
    Howie Rubin, 62 ans, dont les opérations de haut niveau ont été citées dans les livres à succès Liar’s Poker et The Big Short, louait un appartement dans la luxueuse Metropolitan Tower où il s’adonnait à des séances de sexe brutales avec des femmes qu’il payait entre 2000$ et 5000$ par session, d’après la plainte déposée jeudi dernier.
    Les trois plaignantes anonymes - dont deux playmates de Playboy - affirment que le père de famille les a violées et battues, au point qu’elles ont dû être placées sous soins médicaux intensifs, selon les termes de la plainte.
    Une fois dans l’appartement d’une valeur de 8 millions de dollars situé au dernier étage, elles étaient amenées dans une pièce où se trouvaient des cordes, des chaînes, des sex toys, ainsi que des équipements BDSM.
    Rubin bâillonait, attachait, et violait les femmes de façon brutale - allant jusqu’à donner un coup de poing au visage de l’une d’entre elles, d’après la plainte déposée par l’avocat John Balestriere.
    ’’Je vais te violer comme je viole ma fille’’ aboyait Rubin durant l’un des viols.
    Au cours d’une des sessions, il a frappé ’’les seins de l’une des femmes si violemment que son implant s’est délogé’’.
    L’ancien trader de Bear Stearns lui a versé 20 000$ pour réparer les dégâts.
    L’une des plaignantes a été attachée, bâillonnée et électrocutée sur son bas-ventre avec une pique à bestiaux avant d’être violée par Rubin, d’après la plainte.
    Rubin - qui collaborait avec deux entremetteuses féminines et un avocat - obligeait les femmes à signer des accords de confidentialité, d’après la plainte.
    Balestriere écrit que le trio cherchait à ’’couvrir les abus sexuels criminels de Rubin, ainsi que son vaste réseau de trafic d’êtres humains’’.
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