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Étirév

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    Étirév 6 décembre 2023 11:01

    C’est au milieu de la préoccupation générale du Ier siècle de notre ère, qu’une femme s’éleva qui vint prêcher le retour à l’ancienne doctrine israélite et la restitution de la science antique.
    Cette femme s’appelait Johana ; ses disciples s’intitulent eux-mêmes « Mandaïe de lohana ».
    On dit aussi « Chrétiens de saint Jean », depuis qu’on a masculinisé le nom de cette femme.
    (…)
    L’histoire réelle du Christianisme n’a rien de commun avec le récit qui nous a été donné sous le nom de Nouveau Testament.
    Derrière ce Livre, caché par lui, est l’histoire d’un mouvement de rénovation sociale, grandiose, extraordinaire, d’une haute portée, qui brilla sur le monde pendant deux ou trois siècles, mais qui fut renversé, dénaturé et caché par des faussaires qui en firent une caricature grotesque et voulurent avec cela dominer le monde.
    Dans ce vaste réseau d’intrigues, que nous allons démasquer, presque toutes les personnalités ont été dénaturées. Le mensonge a triomphé et la réalité a disparu sous l’amas d’absurdités qu’on lui a substituées.
    La science religieuse des falsificateurs n’a été qu’une collection de mystères, jamais expliqués clairement, mais remplis de sous-entendus et de malentendus, de paraboles obscures, de rapprochements de termes sans signification, de jeux de mots pour les foules avides d’erreurs.
    Il y a cependant, sous ce fatras, quelque chose de grand à étudier.
    C’est à cette étude que nous consacrons ce LIEN.



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    Étirév 5 décembre 2023 15:38

    A quelle époque commença-t-on à parler de la légende de Jésus ?
    C’est dans les Épîtres de Paul que son nom se trouve pour la première fois, et ces Épîtres sont écrites vers l’année 50 : celle aux Galates Vers 55 ; première et deuxième aux Corinthiens vers 58 et 59 ; celle aux Romains vers 60.
    Depuis les écrits de Paul jusqu’au temps de Constantin, il n’existe pas de documents ou de témoignages authentiques, et il est facile de voir que c’est pendant ce temps qu’on a imaginé la légende de Jésus et travaillé à imposer la croyance à un Dieu nouveau, qui va représenter la paternité, la question brûlante de cette époque. On invente le Dieu père, en même temps qu’on invente le Dieu fils. [...] On ne peut pas comprendre dans quelles circonstances on a créé la légende de Jésus et forgé son histoire, si l’on n’a comme source que le Nouveau Testament. La question doit être posée sur un autre terrain, celui de la psychologie qui nous montre à quelles impulsions obéissaient les hommes de cette époque, alors que le droit romain venait d’affirmer la puissance masculine, ce qui révoltait la Femme. Et c’est pour répondre à cette révolte qu’on créa le Dieu Père et le Dieu fils de l’homme, déclarant que le Père, du haut du Ciel, ne reconnaît sur la Terre que les êtres mâles avec lesquels seulement il se met en relation par l’intermédiaire de son fils. Mais tout cela même serait difficile à comprendre si on en faisait un fait isolé. Il faut le rattacher à l’époque antérieure pour en comprendre la signification réelle. Il faut savoir, d’abord, que l’Ancien Testament, sur lequel le Nouveau s’appuie, était déjà un livre altéré, un livre destiné à cacher quelque chose. Si on ne sait pas qu’il y a déjà dans les anciennes Écritures quelque chose que l’on cache, on ne peut pas comprendre les nouveaux Évangiles, puisque c’est le même mensonge qui continue.
    « Les défenseurs de l’historicité de Jésus doivent considérer sérieusement l’importance de leur position... Ils courent le risque de soutenir les titres historiques d’une personnalité qui peut se trouver entièrement différente de celle qu’ils imaginaient lorsqu’ils prirent sa défense. » (Albert Schweitzer)
    Le Vrai et le faux Christianisme



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    Étirév 29 novembre 2023 09:42

    Le surnaturel est une conception moderne qui caractérise une ère de décadence intellectuelle et d’ignorance que le genre humain a traversée mais dont nous sommes à la veille de sortir.
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    Étirév 23 novembre 2023 10:00

    Les hommes se battent pour deux motifs : pour conquérir des territoires et pour accaparer l’hégémonie spirituelle du monde.
    La conquête des territoires a détruit l’ancienne division de la Terre partagée jadis en petites Nations ou Matries. Elle a créé l’unification politique des Grands États, c’est-à-dire agrandi la puissance de l’homme (d’un homme), ce qui a été le triomphe de la Force sur le Droit. L’hégémonie spirituelle du monde a été le prétexte des guerres de religion qui ont ensanglanté la Terre.
    La centralisation, c’est-à-dire l’unification masculine est toujours dirigée contre les libertés féminines et contre les progrès de l’Esprit. Aussi, ces tentatives sont toujours suivies de débâcles. C’est ainsi qu’ont disparu les grands empires des Alexandre, des César, des Charlemagne, des Napoléon.
    Aussi, que reste-t-il des conquêtes de Napoléon ?
    Après les désastres matériels, lorsque la vie a repris son équilibre, il est resté un code de lois qui a pour but de justifier le masculinisme, auquel on donne tous les droits et qui, en même temps, humilie la Femme en la montrant comme un être inférieur et dangereux qui a besoin de la protection de l’homme.
    La composition des articles du Code, dit Napoléon, entièrement, confiée à des jurisconsultes, tout imprégnés de l’esprit aride de la loi romaine, est une œuvre qui porte la marque du despotisme, digne d’un tyran qui voyait dans la famille un camp et voulait avant tout l’obéissance. La liberté féminine n’eut pas d’adversaire plus décidé. La femme est privée non seulement de ses droits civils et politiques, mais encore de ses droits naturels : traitée en esclave et assimilée aux criminels, aux escrocs, aux interdits, aux fous, etc. En revanche, les devoirs lui sont généreusement octroyés : obéissance, soumission, résignation, dévouement, esprit de sacrifice ! Toutes vertus d’esclave. Ce Code barbare s’est inspiré des principes du catholicisme ; religion toute de fabrication masculine, dont les femmes sont exclues comme impures. Notons qu’il y avait encore des femmes médecins et professeurs de médecine jusqu’à la Révolution française, et que c’est à Napoléon qu’on doit la masculinisatîon définitive de l’enseignement universitaire. Enfin, les modernes n’auraient jamais connu le Sépher primitif (qui servira à faire le premier Livre de la Bible, la Genèse, qui en sera la caricature) si un homme d’un génie extraordinaire, Antoine Fabre d’Olivet (1767-1825), n’avait entrepris de reconstituer l’hébreu primitif et de refaire la traduction des dix premiers chapitres du Sépher. Fabre d’Olivet fut tout de suite remarqué par Napoléon comme un homme qui pouvait restituer la vérité. Cela lui valut une persécution effroyable (Il dut quitter la France et s’exila en Angleterre), parce qu’on s’apercevait que sa grande science allait permettre de reconstituer le texte primitif de la Bible, caché depuis 3.400 ans, et que les rabbins, qui connaissent les substitutions de sexes qui ont été faites par les prêtres quand ils ont révisé les Écritures, continuaient à dénaturer complètement.
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    Étirév 21 novembre 2023 09:27

    En parlant de complotisme/comploteurs, rappelons que dans une lettre datée du 15 août 1871, et connue depuis déjà pas mal de temps par de nombreux et « vilains » complotistes, l’écrivain maçonnique américain, Albert Pike, faisait part au révolutionnaire et patriote italien, Giuseppe Mazzini, d’un plan des « Illuminés de Bavière », ou « Illuminati », qui avaient en vue de conquérir le monde par trois guerres mondiales dans le but d’ériger un gouvernement mondial unique.
    Commençons par remplacer le terme fantaisiste « Illuminati » ou celui d’« Illuminés de Bavière » (il s’agit, d’après René Guénon, d’une organisation pseudo-initiatique qui, au XVIIIème siècle, chercha à s’emparer de la Maçonnerie « Opérative ») par ceux, un peu plus actuels de « mondialistes », « puissances d’argent » ou « oligarchie », et voyons.
    La première guerre mondiale devait être mise en scène pour que les « Illuminati » aient un contrôle direct sur la Russie des tsars ; en détruisant le régime tsariste ils permettraient l’avènement du communisme. Aussi, en obtenant le contrôle d’un gigantesque territoire à l’Est, ils pourraient y tester à fond leurs théories totalitaires (qui allaient coûter des millions de vies humaines) afin d’en corriger les défauts ; ils souhaitaient utiliser la Russie comme la « bête noire » pour leur plan à l’échelle mondiale.
    La deuxième guerre mondiale aurait été créée de toutes pièces en manipulant les divergences d’opinions régnant entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés ; la destruction du nazisme aurait conduit à l’accroissement du sionisme et entraîné la création d’un Etat d’Israël en Palestine (devenu depuis une source ininterrompue de conflits et Jérusalem, « Ville de la Paix », devenue elle-même celle de la guerre permanente). Cette seconde guerre mondiale (et nouvelle hécatombe en vies humaines) aurait également permis à la Russie d’étendre sa zone d’influence. Selon la progression du Plan, en devenant le pire ennemi du monde « libre », à l’Ouest, l’épouvantail russe (URSS), à l’Est, obligerait les peuples Occidentaux (dans une prétendue « Guerre Froide ») à accepter la création d’alliances globalistes supranationales (OTAN et ONU par exemple) qui n’auraient pas pu voir le jour sans cela, du moins jamais aussi rapidement et surement. Cette rivalité (de façade) ayant aussi pour but de provoquer un regain de vitalité du commerce (voire du trafic) international des armes et tout ce que cela implique (trafics de drogue, blanchiment d’argent sale, corruption, insécurité généralisée, etc.), et ce pour le plus grand profit des « puissances d’argent » (banquiers internationaux et multinationales dont le fonds de commerce est principalement la PEUR).
    Le plan de la troisième guerre mondiale serait basé sur les divergences d’opinions que les « Illuminati » auraient créées entre les sionistes et les musulmans (réalisant, encore et toujours, ce mécanisme pervers de la « gestion des contraires » si chère aux organisations secrètes globalistes), dont la résultante serait un conflit entre le Sionisme politique (l’Etat d’Israël) et l’Islam (les musulmans du Monde Arabe). Une extension du conflit à l’échelle mondiale serait programmée.
    Une partie de cette Troisième Guerre consisterait également à confronter nihilistes et athées pour provoquer un bouleversement social qui verrait le jour après des affrontements d’une brutalité et d’une bestialité jamais vues. La dévastation serait si considérable que les « élites » en arriveraient à prétendre que seul un Gouvernement Mondial serait en mesure de résoudre les différents problèmes nationaux et internationaux rendant impossible de nouvelles guerres. Les nations exsangues étant, finalement, livrées aux mains des mystificateurs.
    De plus, une fois les grandes religions et l’athéisme réduits à néant, on présenterait à l’humanité survivante (très fortement réduite) la « bonne » et unique « doctrine », faisant ainsi d’une pierre deux coups.
    « Une histoire de fous, racontée par un idiot », aurait peut-être dit Shakespeare.
    Cependant, ce plan, dont l’aboutissement ressemble fort à un « Grand Reset », ne parait pas, aujourd’hui, si extravagant et effarant que ça.
    Il le paraît d’autant moins sachant que la stratégie des mondialistes consiste le plus souvent à créer un problème de façon à, ensuite, apporter la solution préparée d’avance par leurs soins (terrorisme et mesures sécuritaires voire liberticides ; pandémie et contrôles sanitaires : confinement, obligation vaccinale, etc. ; « casus belli » et guerres « contre le terrorisme » ou « pour libérer les peuples » ; crises économiques et instauration de nouveaux systèmes monétaires, etc.).
    Cette stratégie, si elle devait aboutir, déboucherait effectivement sur la création d’un gouvernement mondial régulateur qu’ils contrôleront totalement, et que l’on désigne généralement aujourd’hui du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
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