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Étirév

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    Étirév 16 février 09:19

    Vladimir Poutine, le Roi du Mond…ialisme.
    Back to the future :
    Tout comme lors de la Guerre de 1914-1918, qui a permis au communisme de prendre le pouvoir en Russie, la deuxième Guerre mondiale permettra au communisme (de Staline) d’étendre son emprise, avec l’approbation (et le soutien) de la haute finance. Puis, après Khrouchtchev, qui succèdera à Staline et qui sera l’artisan d’une « déstalinisation » de l’URSS et d’une « Détente » avec les USA, une nouvelle phase débutera au milieu des années 1980 avec l’arrivée, à la Direction du Parti Communiste, de Mikhail Gorbatchev, futur prix Nobel de la Paix (comme Barack Obama) qui, de 1985 à 1987, mettra en œuvre un programme de « réformes » économique et politique, appelé « Perestroïka » (Restructuration), et qui aboutira à la désintégration de l’URSS, conséquence indispensable à la mise œuvre d’une plus grande « efficacité économique » et d’une « démocratisation des institutions » ; une sorte de test, à grande échelle (régionale) du « Grand Reset » avant l’heure ; « Pour faire une révolution, disait Julian Huxley, l’alternative démocratique est la plus désirable et la plus permanente ; la méthode totalitaire s’autodétruit à la longue. » (« Tempo dì Rivoluzione », Mondadori, 1949, p.16 ).
    Ainsi, l’économie soviétique gorbatchévienne se libéralisera grâce aux injections massives de la Haute Finance, et, dans le même temps, l’économie occidentale poursuiva à rythme soutenu sa socialisation. Relevons que la prolifération du rock en Russie est un sous-produit de la « Perestroïka ». À ce sujet, Jacques Delacroix nous rapporte que « Jusqu’en 1981, la musique rock était encore décrite dans la Grande Encyclopédie soviétique comme monotone, banale et esthétiquement scabreuse et attribuée à l’influence pernicieuse de la culture bourgeoise et à l’imitation aveugle des modes occidentales. » (« Maitreya : le nouveau Messie ? Du dévoilement du plan du chaos planétaire à l’émergence de ” l’Instructeur mondial ” »).
    Mikhail Gorbatchev, qui démissionnera en décembre 1991, laissera place à Boris Eltsine, évidente « marionnette » intérimaire et fortement alcoolisée, qui sera élu, dorénavant au suffrage universel, Président de la nouvelle « République Fédérative de Russie » (afin de se donner une image de sobriété, Boris Eltsine inaugura son mandat avec une campagne musclée contre la consommation de vodka qui, d’ailleurs, fut l’une de ses mesures les plus controversées). Il tiendra ce rôle jusqu’en décembre 1999, lorsqu’il démissionnera à son tour. Son incapacité pour raison de « santé » (Eltsine sombrait de plus en plus dans l’alcoolisme) et son incompétence, qui seront mises à la disposition des projets des mondialistes, permettront de préparer l’avènement et le long règne d’un nouvel acteur politique majeur, et plus « moderne » : Vladimir Poutine.
    C’est ainsi que le 31 décembre 1999, au moment où la guerre en Tchétchénie interdisait tout débat sérieux, quelques oligarques organisèrent une discrète passation des pouvoirs d’Eltsine à Poutine, sans élections à la clé. Pour beaucoup aujourd’hui, Vladimir Poutine est devenu une sorte de « Superhéros » luttant contre le « Nouvel Ordre Mondial », à l’instar de son ex-homologue étasunien et milliardaire, Donald Trump, tant vanté et glorifié, lui aussi, par une dissidence peut-être un peu trop naïve.
    Ancien Officier du KGB, les Services de renseignements soviétiques, et donc issu du « système » (Poutine a passé 17 ans au KGB avant que Boris Eltsine fasse de lui, en 1998, le directeur du FSB, ex-KGB), rappelons que le premier geste de Vladimir Poutine en tant que président fut de signer la loi qui mettait son prédécesseur à l’abri de toute poursuite judiciaire, que ce fût pour des actes de corruption ou pour les assassinats de manifestants en faveur de la « démocratie » commis par l’armée pendant qu’il était au pouvoir. De plus, bien que figure centrale de l’exécutif de la nation Russe depuis 1999, rappelons qu’une commission parlementaire britannique a publié en mai 2018 un rapport alertant sur le fait que la « City » serait devenue un centre de blanchiment d’argent pour les hommes d’affaires russes et pour Vladimir Poutine et son entourage, ce qui a valu à la capitale britannique le surnom de « Londongrad ».
    Enfin, rappelons également, et en parallèle, qu’en hâtant l’effondrement de l’empire américain, Donald Trump (à l’instar de M. Gorbatchev en URSS) agit comme un allié objectif des intérêts globalistes de la « City » dont le seul objectif est l’avènement d’un gouvernement mondial. Car précisément, le gouvernement mondial ne pourra voir le jour que sur les décombres des États, tout empires soient-ils.
    NB : Coincidence, Fake news, Conspiracy ?
    Dans une lettre datée du 15 août 1871, et connue depuis déjà pas mal de temps par de nombreux et « vilains » complotistes, l’écrivain maçonnique américain, Albert Pike, faisait part au révolutionnaire et patriote italien, Giuseppe Mazzini, d’un plan des « Illuminés de Bavière », ou « Illuminati », qui avaient en vue de conquérir le monde par trois guerres mondiales dans le but d’ériger un gouvernement mondial unique.
    Première guerre mondiale : Elle devait être mise en scène pour que les « Illuminati » aient un contrôle direct sur la Russie des Tsars ; des divergences suscitées entre l’Empire Britannique et l’Empire Allemand, par des agents des « Illuminati », devaient être le « coup d’envoi » de cette guerre. Ainsi, en détruisant le régime Tsariste, les « Illuminati » permettraient l’avènement du communisme.
    En obtenant le contrôle d’un gigantesque territoire à l’Est, ils pourraient y tester à fond leurs théories totalitaires (qui allaient coûter des millions de vies humaines) afin d’en corriger les défauts.
    Les « Illuminati » souhaitaient utiliser la Russie comme la « bête noire » pour leur plan à l’échelle mondiale, c’est-à-dire comme un « outil » au service de la destruction d’autres gouvernements et de l’affaiblissement de la religion : la FAUCILLE, arme tranchante qui égalise, nivelle tout, provoque la mort ; le MARTEAU, devient ici l’objet des puissances d’« En-Bas », l’image du mal et de la force brutale, pour écraser toujours plus ; c’est aussi l’industrie ou la métallurgie qui rappelle les « génies infernaux » armés de marteaux, à l’époque où l’homme commence à travailler les métaux, et qui les faisaient servir à des arts abominables, à des crimes.
    Deuxième guerre mondiale : Elle aurait été créée de toutes pièces en manipulant les divergences d’opinions régnant, cette fois-ci, entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés… Cette seconde guerre mondiale (nouvelle hécatombe en vies humaines, bientôt suivie d’une immigration de masse en Europe qui en effacera progressivement le visage et peut-être l’histoire) aurait également permis à la Russie d’étendre sa zone d’influence, en particulier grâce à la constitution d’une « Internationale Communiste ». De plus, et selon la progression du Plan, en devenant le « pire ennemi » du monde « libre », à l’Ouest, « l’épouvantail Communiste » (URSS), à l’Est, obligerait les peuples Occidentaux (dans une prétendue « Guerre Froide ») à accepter la création d’alliances globalistes supranationales qui n’auraient pas pu voir le jour sans cela, du moins jamais aussi rapidement et surement, telles que l’OTAN et l’ONU (autre versant du sinistre « Projet Manhattan », plus subtil mais tout aussi meurtrier).
    Cette rivalité (de façade), inaugurée en août 1945 avec le double crime « atomique » contre l’humanité commis par le gouvernement étasunien (véritable démonstration de force des « Illuminati » destinée à faire de la menace nucléaire l’instrument d’un nouvel ordre du monde fondé sur la terreur), entretenue avec la complicité des soviétiques et leur premier essai atomique au plutonium en août 1949 (qui marque le début d’une nouvelle « course à l’armement »), devait surtout avoir pour but de provoquer un regain de vitalité du commerce (voire du trafic) international des armes…
    Troisième guerre mondiale…
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    Étirév 16 février 07:38

    « Il n’est pas étonnant qu’un peuple d’esclaves fugitifs, conquérants d’une terre paradisiaque aménagée par des civilisations au labeur desquelles ils n’avaient eu aucune part et qu’ils détruisirent par des massacres, — qu’un tel peuple n’ait pu donner grand-chose de bon. Parler de « Dieu éducateur » au sujet de ce peuple est une atroce plaisanterie. Rien d’étonnant qu’il y ait tant de mal dans une civilisation (la nôtre) viciée à sa base et dans son inspiration même par cet affreux mensonge. La malédiction d’Israël pèse sur la chrétienté. Les atrocités, l’Inquisition, les exterminations d’hérétiques et d’infidèles, c’était Israël. Le capitalisme, Israël. Tout est souillé et atroce comme à dessein, à partir d’Abraham inclusivement (sauf quelques prophètes). Comme pour indiquer tout à fait clairement : Attention ! là, c’est le mal ! Peuple élu pour l’aveuglement, élu pour être le bourreau du Christ. » (Simone Adolphine Weil, La Pesanteur et la Grâce)
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    Étirév 15 février 07:25

    « Sortir de l’union européenne », ça ne suffit pas !
    Plus encore, il faut sortir de l’emprise du cartel des banques centrales, ces institutions financières privées, de plus en plus arrogantes et gourmandes.
    La Banque des Règlements Internationaux (B.R.I.), créée au tout début des années 1920, dont le siège se trouve à Baal

    … Bâle en Suisse, au sein même de la ville qui, pour la « petite histoire », a inauguré, en 1897, le premier congrès Sioniste, chapeaute toutes les banques centrales du monde. La B.R.I. est dotée de la totalité des prérogatives diplomatiques d’un État, elle a tous les privilèges, notamment en matière d’immunité de ses membres, et ne rend de compte à personne.
    La B.R.I. est, à l’origine, des cartels internationaux basés en Allemagne et dirigés par les Britanniques, qui furent créés dans les années 20.
    Remarquons que le communisme de Marx est une « image-miroir » du nazisme hitlérien : tous deux ont été créés par le cartel des banques centrales, et tous deux sont socialistes. La seule différence est que l’un exalte la race tandis que l’autre met en avant la classe sociale. Aussi, sans la B.R.I., l’Allemagne nazie n’aurait jamais pu financer ses préparatifs de guerre. La B.R.I. a ainsi été la principale machine ouvrière de la 2ème guerre mondiale.
    Le cartel des banques centrales représente le monopole ultime. Il jouit d’un monopole sur le crédit des gouvernements, et son but est de convertir ce monopole en un monopole, exclusif sur tout : la politique, la culture, l’économie, la religion etc.
    Ces institutions sont nées sous le signe de l’imposture : présentées comme des banques d’État, elles disposaient à ce titre de la garantie de l’État (c’est-à-dire des contribuables de l’État) alors que ses capitaux restaient dans des mains privées. L’appropriation par des intérêts privés est le vice initial du concept de banques centrales. C’est ainsi que la banque d’Angleterre (1694), la Banque de France (1800), la Réserve Fédérale américaine (FED, 1913) la Gosbank de l’Union Soviétique (1923) qui est devenue la Banque centrale de la fédération de Russie (1991), la Banque des Règlements Internationaux (B.R.I., 1930), le Système Européen de Banques Centrales (dit SEBC, décidé par le traité de Maastricht en 1992 et entré en vigueur en 1999) reflètent, toutes, un désengagement des instances politique de l’État dans la gestion centralisée des masses monétaires en circulation.
    Rappelons que, mensongèrement présentée comme « intimement liée à l’histoire de la nation », la banque de France a été conçue, comme toutes les banques centrales, comme une entreprise capitaliste détenue par des personnes privées.
    Les banques centrales sont aujourd’hui l’élément pivot, fondamental, du système monétaire mondial. En prenant le contrôle des monnaies, ces « puissances d’argent » ont pris le contrôle des économies puisqu’elles étaient en mesure de décider, en toute autonomie et de façon discrétionnaire, de l’affectation des ressources monétaires.
    Les banques centrales, c’est-à-dire leurs actionnaires cachés derrière l’anonymat, « fabriquent » autant qu’ils veulent, des dollars des €uros, etc. Cet argent est prêté aux différents gouvernements en échange d’obligations qui servent de sécurité à ces banques. Ces obligations sont entre les mains des banquiers privés qui en touchent annuellement des intérêts.
    Rappelons qu’en 1982, le fisc des États-Unis accusait une dette d’environ 1.070.241 millions de $. La Réserve Fédérale américaine, la « FED », récolta environ 115800 millions de $ d’intérêts sur une seule année, payés par les contribuables américains. Le capital de ces intérêts va tout droit dans les poches de la « FED », donc dans celles des banquiers privés internationaux. En 1992, les obligations possédées par la « FED » étaient d’une valeur d’environ 5.000.000 millions de $ et les intérêts à payer par les contribuables montent constamment. C’est la « FED » qui a créé tout ce capital en prêtant de l’argent au gouvernement américain et en touchant des intérêts élevés, elle n’a eu qu’à payer les frais d’impression d’une « monnaie de singe » qui rapporte néanmoins de très gros intérêts. Eustace Mullins disait de la FED qu’elle n’était ni « Fédérale », ni une « Réserve », mais simplement un « Syndicat du crime ».
    La loi de 1973, en interdisant à la Banque de France de faire crédit à l’État, condamnait la Nation à se tourner vers des banques privées et à leur payer des intérêts. Ainsi naquit la dette perpétuelle.
    Aujourd’hui, le montant de la dette est de 3 046 900 000 000 €. Ainsi, c’est 55 milliards d’€ que les contribuables français devront verser aux banquiers privés pour l’exercice 2023, au titre des seuls intérêts de la dette.
    « Cœur nucléaire » du dispositif monétaire international, le système des banques centrales est une escroquerie institutionnelle ; il est une véritable association de malfaiteurs, « faux-monnayeurs », et la plus grande duperie de l’histoire financière des temps modernes.
    En 2011, l’OTAN a fomenté et conduit une « révolution » en Lybie, l’un des derniers pays au monde qui n’avait pas encore de banque centrale. Maintenant la Lybie en est dotée. Rappelons que l’une des premières décisions du Conseil National de Transition, lors de la conférence du groupe de contact sur la Libye qui se tenait à Paris en mars 2011, a été la création d’une banque centrale assujettie aux normes de la Banque des Règlements Internationaux (BRI).
    Remarquons qu’au cours des révolutions « spontanées », les « rebelles » n’attaquent jamais les banquiers, leurs domaines ou leurs banques.
    Faire disparaître la prétendue indépendance et intégrité de la B.R.I., ainsi que de tous les paradis fiscaux de la planète, serait simple à mettre en œuvre : il suffirait qu’un ou plusieurs États envoient des corps militaires à l’assaut de cette forteresse financière pour qu’il n’en reste rien.
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    Étirév 14 février 10:09

    Un début de réponse avec ce qu’on appelle les « Young Leaders ».
    Qu’ils émanent de la « French-American Foundation » (co-fondé par V. Giscard d’Estaing en 1976) comme François Hollande, Emmanuel Macron, Édouard Philippe, de la « France China Foundation », comme Olivier Véran, Edouard Philippe et Sibyle Veil, PDG de Radio France depuis 2018, et camarade de promotion d’Emmanuel Macron à l’ENA, ou des « Young Global Leaders » du Forum Economique Mondial de Klaus Schwab, comme Gabriel Attal, Emmanuel Macron, Marlène Schiappa, etc... favorisant ainsi le cours des choses et agissant dans les divers partis politiques, leur jeu au niveau des politiques intérieures nationales, en plus du « diviser pour régner », est clair :
    À « gauche » on met tout en œuvre pour détruire la famille, l’éducation, l’ordre, en un mot la structure portante d’une société traditionnelle, au nom d’un laïcisme libéral, égalitaire et pacifiste ;
    À « droite », on s’efforce de détruire la petite industrie, l’artisanat, les petites entreprises agricoles, le petit commerce au nom de l’accroissement de la richesse dans la société, du libre-échange, du libéralisme économique ;
    Le « centre » s’emploient à détruire et à effacer dans le cœur du peuple, au nom de l’Humanité, des Droits de l’Homme, de l’écologie et de l’amitié entre les peuples, l’idée et la signification du mot même de Nation, le tout, soutenu par une publicité tapageuse favorisant la transition vers une société multiethnique et multiraciale, voire asexuée, afin d’éradiquer, en Occident, tout ce qui reste d’attachement à la religion, aux traditions qui ont fleuri autour d’elle, aux racines culturelles et historiques d’un peuple.
    Ainsi, pendant que des traitres bradent les fleurons de France, nous assistons, périodiquement, à l’« humaine comédie » des élections où le citoyen « souverain », « libre » et « indépendant », vote et s’agite pour la gauche, la droite ou le centre, alors qu’en réalité il baigne à son insu dans les idées massifiantes de cosmopolitisme et dans l’indifférence pour toutes les valeurs ; pauvre pantin qui, dans cette société, se déplace dans le cercle tracé préalablement par des meneurs occultes, avec tout ce que cela comporte, et dont témoigne tragiquement la quotidienneté européenne et même mondiale.
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    Étirév 8 février 14:29

    Les préjugés et l’ignorance, surtout, ont la vie dure.
    Aussi, attention à ne pas confondre la Maçonnerie moderne dite « spéculative », issue de la rédaction des Constitutions, dite « d’Anderson », de la Grande Loge d’Angleterre publiées en 1723, et la Maçonnerie ancienne dite « Opérative » qui trouve son origine dans les « Mystères », c’est-à-dire dans un enseignement donné dans le secret pour continuer à expliquer les lois de la Nature.
    Ajoutons à cette précision que, lorsque certains régimes totalitaires interdirent la Franc-Maçonnerie c’est l’« Opérative » qui était visée et non la « spéculative », car ces régimes ne lui pardonnent pas d’enseigner les moyens de penser et d’agir librement.
    NB : À propos d’ Anderson, « un journal, en annonçant sa mort en 1739, le qualifia de « très facétieux compagnon », ce qui peut se justifier par le rôle suspect qu’il joua dans le schisme spéculatif et par la façon frauduleuse dont il présenta sa rédaction des nouvelles Constitutions comme conforme aux documents « extraits des anciennes archives » ; A. E, Waite a écrit de lui qu’« il était surtout très apte à gâter tout ce qu’il touchait » ; mais sait-on que, à la suite de ces événements, certaines Loges opératives allèrent jusqu’à prendre la décision de n’admettre désormais aucune personne portant le nom d’Anderson ? Quand on songe que c’est là l’homme dont tant de Maçons actuels se plaisent à invoquer constamment l’autorité, le considérant presque comme le véritable fondateur de la Maçonnerie, ou prenant tout au moins pour d’authentiques landmarks tous les articles de ses Constitutions, on ne peut s’empêcher de trouver que cela n’est pas dépourvu d’une certaine ironie… » (R. Guénon, Études sur la Franc-Maçonnerie et le Compagnonnage, tome 2)
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