Soulmanfred se trompe grossièrement en balayant d’un revers de main le grand nombre de phénomènes inexplicables qui ont été répertoriés, sinon étudiés, très sérieusement.
Mais vous-mêmes, christophe nicolas, manquez sans doute de recul par rapport à certains de ces phénomènes. Je vous invite, par exemple, à lire un ouvrage très intéressant paru il y a 7 ans, Les archives secrètes de Lourdes. L’interview d’un des auteurs du bouquin ici.
Bref, toujours les mêmes arguments éculés et de la plus parfaite mauvaise foi (puisque contraires à toutes les observations sérieuses). Parce que le système actuel, il ne lasse pas les Français, peut-être ?!!! A ce sujet, se reporter au "Baromètre de la confiance politique" du CEVIPOF (vagues 5 et 6) vaut mieux qu’un long discours... (àpd la page 18).
Non, la vrai raison pour laquelle nos parlementaires ne trouvent "pas que le référendum soit une bonne solution", c’est que ça remettrait en cause leur utilité (au moins au niveau du nombre), càd la poule aux oeufs d’or que cette activité représente pour eux (voir aussi ici).
Attention à ne pas se tromper de niveau d’interprétation.
Qu’est-ce que c’est que le FN ? Le seul parti en France (susceptible d’arriver au pouvoir) qui, parvenu au pouvoir, mènerait une politique qui s’opposerait à l’ideologie libérale-libertaire et à la géo-stratégie atlantico-sioniste.
Qu’est-ce qui reste à faire pour les forces ennemies d’une telle politique (qui contrôlent à peu près tous les rouages du pouvoir) ? Mettre des bâtons dans les roues du FN par tous les moyens possibles : diabolisation, manipulations, infiltrations par des provocateurs, etc., etc.
D’ailleurs, Jacques Sapir a également fait un sort dernièrement à ce grossier exercice de propagande diffusé le 17 février sur France5 : son papier s’intitule Télé irréalité.
On rappellera qu’il n’y a pas que Jacques Sapir qui a montré que sortir de l’Euro, non seulement n’entraînerait pas de conséquences trop dommageables pour la France (ce qui n’est pas forcément le cas pour d’autres pays), mais aurait au contraire un effet largement bénéfique pour son économie.
On peut citer Patrick Arthus, de Natexis, Philippe Murer, François Asselineau, etc. Sans oublier les mises en garde répétées d’un certain nombre de "prix nobel" d’économie, de droite comme de gauche, sur l’impossibilité de fonctionnement d’une monnaie unique à l’intérieur d’une zone regroupant des réalités socio-économiques aussi disparates que celles de l’Allemagne et du Portugal, de la France et de la Slovaquie, des Pays-Bas et de l’Italie, sans même parler de la Grèce, bien sûr...