Laissons ensemble les crétins qui ne savent discuter que d’étymologie et d’histoire ... et qui sont incapables de questionner leurs propres paradigmes ...
Je me demande si Lordon a lu Bourdieu ou s’il a lu Heinich pour dire qu’il n’y a pas de références... mais passons là dessus, je ne vais pas exposer ma théorie sur les références.
Pour moi, Bourdieu est plus clair que Lordon. Il se bat contre un langage qui n’est pas fait pour dire ce qu’il veut dire, là où d’autres comme Lordon, accompagnent le langage.
Et la plupart des gens préfèrent l’esthétique à la précision, et la conservation des paradigmes qu’ils sont en train d’utiliser.
Chercher à comprendre une phrase de Bourdieu n’est jamais une perte de temps, il est univoque. Chercher à comprendre des auteurs qui veulent plaire à leurs lecteurs, c’est être un éléphant en rut dans un magasin de poupées de porcelaine.
Bonne chance à toi Chitine, et à tous ceux qui s’obstineront à discuter avec des gens comme Guéguen.
Jean Robin, (j’ai lu votre réponse plus haut) vous dites pour quelle société vous êtes... en plus vous dites "on change" voilà ce que je vous demande depuis longtemps : De présenter des idées positives (au sens commun, pas philosophique), des visées et pas seulement des critiques.
Mais je vous le redis, en espérant vous convaincre : Les listes de gens essentialisés (de gauche, marxiste, anti-sioniste...) ne convainquent personne, ne servent à rien si ce n’est à encourager l’essentialisme (contre vous !) ... Parlez de choses positives et vous ferez mieux la promotion de vos livres essentialistes. Tant pis si les lecteurs seront déçus de la faiblesse de vos arguments, vous aurez au moins une action positive sur ce que vous prétendez le plus important pour vous : la liberté d’expression.
merci Chitine, mais en voulant absolument se servir de Spinoza, par principe Lordon n’apporte strictement rien aux possibilités d’action. Le pauvre Lordon qui croit mieux connaître Bourdieu que Bourdieu lui-même en disant que Bourdieu aurait du s’affilier à Spinoza plutôt qu’à Pascal. Faut bien passer dans les médias ! Et pour cela le faux universalisme Spinoziste, ça plaira toujours aux décideurs.