J’aimerais profiter de ce sujet pour rendre hommage à Guillaume Depardieu qui lui a vraiment souffert d’être un fils de, il en est mort, avec une jambe en moins de surcroît, fût elle belle sa jambe, il a été étouffé par un père diplodocus boulimicus charismaticus qui lui a fait tant d’ombre qu’il s’est fané avant l’heure, non par manque de talent, car il en regorgeait, mais par manque de reconnaissance paternelle, d’espace vital filial, père qui au lieu de se faire abattre par le fils comme le voudrait la théorie freudienne, a tué le fils, le crucifiant de son indifférence et de son détachement à son égard, trop occupé par ses multiples casquettes autres que celle de patriarche.
Mais que peut un arbuste chétif, bancal, fragile, en manque d’engrais contre une espèce de croisement improbable entre un baobab et un chêne dont les glands gorgés d’excès en tous genres semblent lui donner une longévité obélixienne pour de vrai, pas en BD. Tenez allez lui parler des 5 fruits et légumes par jour, pas de clope, du sport et de boire l’alcool avec modération à lui, le Gégé, pour vivre vieux, il vous roterait au visage de sa superbe et chanceuse constitution hors norme à n’en point douter, ce qui rajoute au tragi-comique de la disparition d’un fils malade du mal de vivre, dont le seul tort, a été d’être un fils de... Par Dieu !
Ce serait noble comme cause si elle n’était pas juste motivée parce que ses assassins sont juifs et en vue de dénoncer un deux poids deux mesures évident. On monte ce drame en épingle uniquement par récupération idéologique plutôt que sincère compassion. Donc comme dit plus haut, contre productif et validant la compétition victimaire. Je ne cautionne pas.
A croire qu’il y avait pénurie de parépatéticienne (et Aristote n’a rien à y voir) en Centrafrique alors certains de nos soldats se sont rabattus sur des gosses. Faudrait savoir choisir entre le moindre mal. Des putes ou des gosses, voire des animaux à la place ?