« [l]’être qui a appris dès sa plus tendre enfance comme une nécessité vitale l’application de lois non écrites, et le renoncement à ses propres sentiments, sera d’autant plus prompt à obéir plus tard aux lois écrites, et ne trouvera pas en lui de quoi se protéger contre elles. Mais comme un être humain ne peut pas vivre totalement dénué de tout sentiment, il se rallie à des groupes par lesquels les sentiments qui lui ont été interdits jusqu’alors sont admis, voire encouragés, et peuvent donc enfin être vécus au sein d’un collectif. Toute idéologie offre cette possibilité de décharge collective des affects accumulés couplée avec l’attachement à des objets primaires idéalisés, qui est transféré à de nouveaux personnages de chef ou au groupe tout entier comme substitut de la bonne symbiose avec la mère que le sujet rejette. »
Il m’apparaît que les psychopathes pervers narcissiques auteurs de tous ces livres étaient des fils, comme Isaac, incapables de dire non à leur père, des fils brisés soumis, sans aucune liberté.
De plus, il m’apparaît évidents que ces fils dépourvus de tout jugement, parce que justement totalement investis depuis leur naissance, sont incapables de prendre quelque décision que ce soit.
Il m’apparaît de plus, que ces fils sont totalement incapables de cesser d’idéaliser leur père et MÈRE.
Et tout ceci m’amène à dire qu’il faut culpabiliser l’enfant et épargner le parent, ou le roi, ou le maître.
Les religions servent de caution aux tribunaux pour culpabiliser les enfants et épargner les personnes de références, la Société, qui les a fait naître dans un "train" fou qui mène à la "liberté par le travail..." un énorme tas de "pierres".