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Le Gaïagénaire

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    Le Gaïagénaire 31 août 2014 16:24

    Medusai (---.---.---.36) 31 août 13:32


    "Pas mieux et c’est mon cas. Je l’ai compris avec l’expérience de la vie."

    Trop tard pour prévenir la répétition par votre fille. C’est l’arnaque millénaire.


    Par Le Gaïagénaire (---.---.---.208) 23 août 15:36

    " Les deux côtés de l’homme sont transmis par l’éducation. Le bon côté par la socialisation, les normes communiquées consciemment par les parents. Le mauvais côté par les plus anciennes perceptions du comportement parental qui ne se montre à nu que devant son propre enfant utilisé comme exutoire."(Miller, Alice, L’enfant sous terreur, p.84, Aubier 1986)


    " Il y a ici confusion très révélatrice de la cause avec son effet, et l’on combat comme source du mal quelque chose que l’on a soi-même fait naître. Ce type de phénomène ne se produit pas uniquement en pédagogie mais aussi dans les domaines de la psychiatrie et de la criminologie. Une fois que l’on a suscité le " mal " par la répression du vivant, tous les moyens sont bons pour le combattre chez la victime. "(Miller, Alice, C’est pour ton bien, p.45, Aubier, 1985) 


    La seule, la vraie solution consiste à obliger toutes les filles à dresser leur biographie (ontogenèse) avant qu’elles ne commencent à se reproduire. Cela est très facilement faisable à l’école entre l’âge de 10 et 15 ans. Elles prendront ainsi conscience de leurs émotions refoulées et ne seront plus sujètes à la compulsion de répétition de l’exercice du pouvoir. Les enseignants devraient toutes et tous être soumis à la même exigence avant d’être diplômés.


    Le seul prérequis : Cesser l’idéalisation maternelle.



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    Le Gaïagénaire 31 août 2014 15:00

    Medusai (---.---.---.36) 31 août 14:38


    La question est pourtant claire.

    Concernant la vidéo je dirai : quelle belle brochette de sionistes psychopathes. Incluez-y Hanna Arendt.

    Direz-vous à votre fille de ne pas mettre au monde d’esclaves pour les servir ? 

    Comme vous avez, inconsciemment, fait vous-même.


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    Le Gaïagénaire 31 août 2014 14:51
    Medusai (---.---.---.36) 31 août 12:06

    Par Le Gaïagénaire (---.---.---.208) 22 août 17:43

    "Cela signifie que, règle générale, nous ne réalisons pas que l’on a fait l’objet d’un subtil modelage aux exigences de l’institution (de la société), puisqu’il fait partie de notre formation. J’anticiperai en précisant que cette formation commence au berceau et se poursuit, au-delà de l’éducation parentale, elle-même souvent conditionnée par l’institution, par l’éducation sociale, la socialisation. En vue de nous convaincre, Castoriadis nous enjoint ensuite à nous demander[84] :

    "quelle est la part de tout votre penser et de toutes vos façons de voir les choses et de faire des choses qui n’est pas, à un degré décisif, conditionnée et co-déterminée par la structure et les significations de votre langue maternelle, l’organisation du monde que cette langue porte, votre premier environnement familial, l’école, tous les « fais » et « ne fais pas » qui vous ont constamment assailli, les amis, les opinions qui circulent, les façons de faire qui vous sont imposées par les artefacts innombrables dans lesquels vous nagez, et ainsi de suite."


     "Contrairement à Merleau-Ponty, qui refuse l’absolue clôture par l’institution, naturellement évolutive, 

    "Castoriadis insiste sur le fait que l’institution « produit, conformément à ses normes, des individus, lesquels, par construction, sont non seulement capables de, mais obligés à reproduire l’institution » et constituent donc des « fragments ambulants de l’institution de [la] société »[85], un peu comme les milliers de gouttes d’eau qui sont enfermées dans un vase n’évoluent toujours qu’à l’intérieur de celui-ci et sont toujours collectivement en tant que gouttes agglutinées, en forme de vase. Ainsi, pour lui, l’examen de la façon dont fonctionnent le magma imaginaire social et ses institutions au sein d’une société révèle l’existence d’une clôture (fermeture sur elle-même). Cela a des répercussions au potentiel dramatique tel que le suggère la fin du passage suivant[86] : 

    "Toute société (comme tout être ou espèce vivante) instaurecrée son propre monde, dans lequel, évidemment, elle « s’ » inclut. (…) Il serait même insuffisant de dire que toute société « contient » un système d’interprétation du monde. Toute société est un système d’interprétation du monde ; et, ici encore, le terme « interprétation » est plat et impropre. Toute société est une construction, une constitution, une création d’un monde, de son propre monde. Sa propre identité n’est rien d’autre que ce « système d’interprétation », ce monde qu’elle crée. Et c’est pourquoi (de même que chaque individu) elle perçoit comme un danger mortel toute attaque contre ce système d’interprétation ; elle la perçoit comme une attaque contre son identité, contre elle-même.


     "Castoriadis soulève ici un point crucial : la tentative de remettre en question le système d’interprétation du monde d’une personne fermée sur sa conception, résulte en un braquage, dû au sentiment d’être attaqué dans son identité profondément ancrée. Là réside l’un des fléaux les plus destructeurs entre les humains : la peur de l’autre qui proviendrait, comme je l’expliquerai plus loin, de la peur de l’autre en soi, la peur de l’inconnu en soi, de ce qui nous est inexploré, notre face cachée de Lune dont on redoute les conséquences, si elle venait qu’à nous être dévoilée. Dans une société étant composée d’un grand nombre de personnes encastrées dans leurs idées qui se veulent fixes, même si elle se prétend être une société ouverte, le résultat à l’échelle collective peut laisser à désirer."

    [83] C. Castoriadis, L’imaginaire, supra, note 19, p. 222-223. ; [84] Ibid., p. 223. ; [85] Ibid., p. 223. ; [86] Ibid., p. 226.




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    Le Gaïagénaire 31 août 2014 13:53

    Medusai (---.---.---.36) 31 août 11:40


    Direz-vous à votre fille de ne pas mettre d’esclaves au monde ?


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    Le Gaïagénaire 31 août 2014 11:25
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