Deux personnages vraiment intéressants, mais de l’aveu même de P. Hillard, il ne vote pas car ne se retrouve dans aucun parti, donc peu de chances pour lui et ses idées d’aboutir. Quant au second qui se prend pour de Gaulle version 21è siècle, il est et restera sur la liste noire des grands médias.
Ah !!! Si la dissidence pouvaient raboter ses divergences internes pour se concentrer sur l’essentiel, l’indépendance nationale. Mais cela semble vraiment trop difficile car chacun souhaitant être calife à la place du calife, au détriment du bien commun que tous brandissent pourtant ici où là dans leurs discours.