@Conférençovore
C’est long ...
Quand un terroriste parvient à se planquer des semaines durant
dans un quartier … il bénéficie bien de complicités ou de gens
qui font semblant de ne rien voir... "
.
??? Peut-être est-ce
arrivé , mais en parler comme si c’était habituel, non. De plus,
ces terroristes (qui ne font pas de distinction d’origine ou de
religion) … peuvent raconter n’importe quoi à n’importe qui pour
être cachés. Qu’après chaque attaque terroriste, les enquêtes de
voisinage et autour n’ont à ma connaissance jamais établi que ces
"planqueurs" de terroristes étaient chose courante. Je me
souviens qu’un maboul (libéré depuis) avait logé des terroristes
contre monnaie sonnante et trébuchante, de mémoire, il les savait
recherchés, mais pour de la délinquance, lui-même était dealer et
s’en vantait, s’est lui-même rendu aux flics après s’être
aperçu qu’il avait logé des terroristes … d’ailleurs, ce type
louait pas mal de petits logements mal famés. Chez les arabes (et
désolé, je connais bien) … avoir des sympathies avec des
terroristes est pire que tout, bien plus que des petits actes de
délinquance. Sur ces terroristes il y a bcp de choses à dire …
mais ce n’est pas le sujet, déjà que l’on soit pas mal HS.
"… dont aucun ne porte un prénom
français d’ailleurs (étonnant, non ?*)"
Je ne vois rien
d’étonnant à ça … vu le contentieux qui existe encore (que je
déplore) entre français et descendants d’immigrés, sauf dans
certains milieux français d’origine (généralement de haute
culture) de même que dans certains milieux maghrébins de bonne
culture générale. Pour ma part, bien que je n’avais pas pensé à
m’attribuer un prénom français, étant né en Algérie … mais je
ne vois pas où est le problème. Je suppose que les prénoms des
colons français qui s’étaient avec force armée installés en
Algérie, n’était pas tellement ce qui gênait les indigènes comme
ils disaient. Au contraire, pas mal de français anti colonialistes
vivaient en Algérie avec leurs prénoms français et leur religion
d’origine avant la décolonisation et après.
" Les Français, les Européens de l’Ouest
en général ont un haut niveau de civilité mais, en même temps,
une tendance à universaliser leurs comportements et modes de pensée
…"
Si tu écoutes ce que
dit René Vautier dans les vidéos que j’ai posté plus haut (avec tous les arguments, citations sourcées etc …) tu
constateras que c’est le contraire, bien le contraire, c’était
certes à une autre époque, mais qui se reflète automatiquement de
nos jours. Contrairement à quelques de français, jamais les
algériens (en général et très grosse majorité) n’ont mis tous
les français dans le même sac … Mais si tu parles de minorités,
car ce sont bien d’eux qu’il s’agit, ils sont un boulet pour tous, je
n’ai pas de solution, sauf encore une fois que la justice devrait
agir en conséquence … ce n’est pas ce qui est fait. Au bled, comme déjà dit, leur compte est vite réglé, et souvent la police vient les sauver de la colère des habitants. Et lorsqu’ils sortent de taule, ils baissent les yeux pour pas mal de temps, là bas, c’est considéré comme une honte, ici, c’est le contraire, va savoir pourquoi.
Le gauchisme … que je
mets sur le même plan que le droitisme, perso, je n’y crois pas, ils
n’ont plus lieu d’être et ils ont bon dos, les gens sont
responsables d’eux-mêmes.
Tu cites de exemples de
malfaisance, en oubliant que ce sont des actes isolés, qu’en France,
les actes hautement crapuleux et criminogènes ne sont pas souvent
des descendants d’immigrés.
"85%
des condamnés sont Français et 15% de nationalité étrangère :
est-ce ‘beaucoup’ ?" (ci-dessous quelques extraits)
La revendication du lien de cause à effet entre immigration et
délinquance s’appuie sur les perceptions des Français : en
2019, d’après la Commission nationale consultative des droits de
l’Homme (CNCDH), 37% des personnes interrogées jugeaient que
« l’immigration est la principale cause de l’insécurité »
(+3 par rapport à 2018). Les discours politiques alarmistes
alimentent ces perceptions, d’autant plus s’ils émanent de
responsables hauts placés comme un ministre de l’Intérieur.
L’essentiel des
discours liant immigration /délinquance /criminalité sont fondés
sur des arguments quantitatifs tels que la hausse des crimes et
délits commis par des personnes immigrées, descendantes d’immigrés
et étrangères ou encore la surreprésentation de ces mêmes
personnes parmi les détenus en France.
Les statistiques nationales sur la délinquance tiennent compte de
la nationalité des personnes (française ou étrangère) et non pas
du lieu de naissance (née en France ou immigrée) ou de celui des
parents (née d’au moins un parent immigré ou non).En excluant les
personnes dont la nationalité est inconnue, 85% des condamnés sont
Français et 15% de nationalité étrangère. Est-ce
"beaucoup" ? C’est en tout
cas une proportion importante – le double de la part des
étrangers parmi la population française (7,5%) – et cela
demande à être analysé en détail. (j’ajoute que dans les
85 % de français sont évidemment compris les naturalisés).
« Des
types de délinquance qui sont celles des milieux populaires »
D’abord, dans 99,2% des condamnations de personnes de
nationalité étrangère, les infractions sont des délits – dont
plus de 55% concernent la circulation routière et des vols – et
dans seulement 0,8% des crimes.
Pour
compléter cette analyse et tenter de prendre en compte, au moins
pour partie, les immigrés et leurs descendants, des recherches
ont été menées à partir de dossiers judiciaires, en codant
l’origine des personnes à partir de la consonance de leurs
patronymes. Il en ressort que les immigrés (dont les
étrangers) et leurs descendants « sont surtout présents dans
les types de délinquance qui sont typiquement celles des milieux
populaires, mais qui sont également les formes de délinquance les
plus visibles, les plus simples et donc les plus réprimées par
la police et la justice ».
Le
deuxième facteur est à chercher du côté des inégalités
socio-économiques et territoriales. Comme indiqué plus haut, la
délinquance des immigrés (dont les étrangers) et de leurs
descendants est d’abord une délinquance de milieux populaires,
une délinquance de « pauvres », fortement liées aux
conditions de vie dans les quartiers populaires.
.
J’ajoute
encore, que souvent, ces petits délinquants (petites et grandes
racailles connaissent tous des problèmes familiaux, dont majorité,
l’absence du père y est flagrante. En effet, les racailles se
réveillent vers 16 h et leur maman au travail … voilà pourquoi
je parlais au début "d’inadéquation", car ces jeunes (que
je n’excuse surtout pas, ne connaissent pas une existence idéale …
que n’importe quel peuple mis dans leur situation connaîtra le même
résultat, sauf … et il faut le souligner les populations
asiatiques qui eux, arrivent à compenser les manquements de leur
situation, mais qui ne sera pas d’accord avec le fait que les
asiatiques sont des peuples à part, et c’est un compliment que je
leur fait, même s’ils n’en ont pas besoin, ils ont naturellement une
capacité de résilience à toute épreuve.
Les
asiatiques, si je me souviens bien, notamment des jeunes ados ont
essayé de faire copain/copain avec les noirs et les maghrébins,
mais ça n’a jamais fonctionné (des connaissances asiatiques me le
confirment après coup), d’ailleurs, ça n’avait pas fonctionné avec
les français de souche non plus.
.
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