@perlseb du coup, on dit au revoir à tous ces enflés blablatants, et on disait qu’on en avait plus rien à foutre d’eux. Défi. On parle d’autre chose. Par exemple, compte tenu du fait que le témoignage de cette personne est propre à susciter des peurs, de la tristesse, et autant de sentiments et pensées qui nous minent, je propose de regarder du côté de chez soi : qu’est ce que l’on peut faire, concrètement, qui irait dans le sens d’une prise en compte (de ce témoignage) ? et de la vulnérabilité qui sous tend ce témoignage ? N’avons nous pas, tous, été choqués et vulnérabilisés ? C’est très grave. En parler avec ceux qui nous sont proches dans la vie est un pas vers la reconnaissance de ce que ça nous a fait, de ressentir ou subir ces effets, ces prises de décision extérieures à nous à propos de notre intimité la plus précieuse : notre vie. Et si on faisait ce pas d’aller vers un autre pour partager ce que ça nous a fait de nous sentir apeuré, limités dans nos libertés de mouvement, de contact avec les autres, et si on savourait cette liberté de justement partager tous ces ressentis, de vive voix, avec des gens de confiance, pour qu’à l’avenir, il soit possible d’être entendu et de choisir de se préserver de menaces extérieures (telles que des virus.. ou des vaccins.. ou les deux) en gardant une certaine liberté et en nourrissant de la confiance dans le fait que l’on peut être vu, entendu et pris en compte par les autres. Inutile de s’adresser ailleurs qu’à la limite de notre petit cercle d’amis ou de proches, ce serait nourrir une fiction, et la fiction n’a pas besoin de nous pour se dérouler..