La démesure de bien des fortunes privées est une insulte à l’humanité, mais il y a pire :
Le gigantisme de la richesse accumulée par cette même humanité depuis qu’elle existe, alors que pendant le même temps – structurellement –, sans que nul n’en parle, les écarts de richesse et les inégalités sociales n’ont jamais cessé de se creuser.
Les divagations obscurantistes de sectaires nostalgiques d’une lutte des classes aussi archaïque que sommaire n’y changeront rien, sauf à amplifier la frustration et aggraver le sort des plus démunis.
Emmerder les emmerdeurs : Stratégie assumée dans la forme comme dans le fond, pour contrer une
opposition incapable d’abandonner ne fut-ce qu’un temps, une
démagogie qu’ignore le virus ; la vaccination pouvant quant à elle
s’appuyer sur la preuve de ses bienfaits depuis qu’elle existe.
La terre était alors peuplée de moins de 250 millions d’êtres humains, alors qu’ils seront bientôt 8 puis plus de 11 milliards ! De quoi changer la donne, non ? Sans compter les effets d’un progrès scientifique et technique qui différencient les époques au point de rendre toute comparaison dénuée de sens autre qu’anthropologique.
Nous ne vivons pas une crise
politique ni même de société, comme la Rome d’il y a 2 millénaires passés, mais les débuts d’un drame qui
peut être fatal à notre civilisation à bref terme. Les êtres
humains en douteront-ils encore en y succombant ?
La question qui se pose à l’humanité aujourd’hui est : Vaut-il
mieux le progrès et un bien-être inégal pour
3 ou
4 milliards
d’humains, dans
le respect de leur environnement,ou
la stagnation dans une indigence égalitariste
et le
saccage de la planète, par
bientôt plus de 11 milliards de super-prédateurs
?