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Claudec

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    Claudec 12 mars 2018 08:17

    @Jean Keim

    Bonjour,

    "L’argent" n’est rien d’autre qu’un facilitateur – inventé par l’homme – des échanges économiques résultant eux-mêmes des fonctions premières de ce même homme, qui sont de consommer et de produire, pour satisfaire ses besoins vitaux comme superflus..

    Le premier des maux et l’origine de tous ceux dont souffre notre société sont en conséquence d’ordre démographique et la conséquence de notre prolifération démesurée. Voir mon post ci-dessus.



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    Claudec 11 mars 2018 18:01

    François Lenglet "constate", « en appliquant toujours la même méthodologie depuis 30 ans », et son auditoire de boire ses paroles ! Et s’il essayait de raisonner autrement ?


    Si « depuis 2011 la BCE a injecté plus de 4.000 milliards d’euros sur les marchés financiers en rachat d’actifs, sans aucun « ruissellement » ou presque sur l’économie réelle. », comment les riches ont-ils pu en profiter ? Car c’est bien l’économie réelle, par les investissements et le travail qui la fait tourner, qui les enrichit, non ?

    Et si ce qu’il dénonce comme un défaut de ruissellement n’était dû qu’à l’atrophie de notre pyramide sociale, suite à l’augmentation incessante, depuis qu’elle existe, du nombre de ceux qui l’habitent et qui ont pour fonctions premières de consommer et de produire ?

    Comme c’est indéniablement le cas, il en a résulté un enrichissement collectif incessant – dépassant de nos jours la démesure – ayant fait que la pyramide sociale se soit développéjusqu’à l’atrophie et continue de le faire ; son sommet s’éloignant toujours plus de sa base, et les inégalités sociales que cet écart exprime s’accroissant inéluctablement d’autant.

    L’augmentation incessante de la population, est actuellement de l’ordre de 280 000 individus chaque jour (cf. estimations de l’ONU et de l’INED), soit près de 100 millions par an. Ne pas en tenir compte, c’est s’enfermer dans la pensée unique et être sommairement obsédé par une archaïque lutte des classes, au point de se livrer aux pires amalgames, mêlant outil de travail commun, rémunérations, capital, patrimoine, revenu, etc.

    C’est aussi omettre :

    - d’une part que pauvres et riches se partagent structurellement et mathématiquement leur richesse commune à raison de 86% pour le premiers et 14% pour les seconds

    - d’autres part, que toujours structurellement, les pauvres se multiplient beaucoup plus que les riches. Quand 100 êtres humains naissent, moins de 4 rejoignent les riches, plus de 24 vont vers les classes moyennes et 70 vont grossir les rangs des pauvres.

    Pour plus de précisions, visiter le blog“Abominable Pyramide sociale” et/ou lire “Précis de pyramidologie sociale”.



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    Claudec 21 février 2018 06:53

    C’est pourtant l’évidence :

    Défendre quoi que ce soit, c’est ne pas être neutre !


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    Claudec 15 janvier 2018 18:29

    Discours du "Y’a qu’à" ou du "faut qu’on", tenu trop sommairement depuis toujours, par tous les utopistes qui ne tiennent aucun compte des réalités de notre condition sociale dans ce qu’elle a de plus fondamental et incontournable :

    1° Structure pyramidale de notre société
    2° Mécanisme animant la relation économie-démographie, au niveau mondiale.

    Plus la population mondiale augmente, et avec elle sa richesse collective, plus se creuse l’écart entre les riches et les pauvres, du simple fait du développement de la pyramide sociale (accroissement de la distance entre sa base et son sommet) ; et ce mouvement, qui est né avec l’humanité et s’est accéléré avec l’avènement de l’industrie pour atteindre aujourd’hui la démesure, est irréversible, sans dénatalité massive et urgente puis stabilisation de la population mondiale.

    Sans parler de l’aspect environnemental de la question qui présente la même exigence



  • 1 vote
    Claudec 1er novembre 2017 17:16

     « L’être humain étant avant toute opinion et toute autre considération, un consommateur » (G. Bouthoul), plus sa population augmente plus sa société s’enrichit et dans un apparent paradoxe, plus la société s’enrichit plus elle produit de pauvres (relatifs) ; plus la société s’enrichit, plus la pauvreté s’étend, et plus la société s’appauvrit plus la pauvreté régresse.


    Mais dans un cas comme dans l’autre, encouragés par tous ceux qui se font leurs défenseurs pour des raisons sommaires et trop souvent clientélistes, nombreux sont les pauvres qui se préoccupent davantage de l’enrichissement d’autrui que de leur propre sort, lequel fait que leur effectif croît plus rapidement que celui des riches, dans la proportion de 86 à 14 %. Sur 100 êtres humains qui voient le jour, 14 naissent au-dessus de la médiane de la richesse collective et 86 au-dessous. En d’autres termes, dans la relativité de la richesse et de la pauvreté, 14 êtres humains naissent riches et 86 naissent pauvres.


    Dès lors que par convention le volume de la pyramide sociale représente l’importance de la population qui l’habite, le schéma ci-dessus illustre ce mécanisme inéluctable ; d’autant plus difficile à admettre que si la pauvreté a une limite qui est le niveau zéro de la richesse sous lequel nul ne peut descendre, la richesse n’en connaît pas d’autre que celle des ressources qu’offre la nature.





    Quoi qu’il en soit, la compassion la plus grande et la plus sincère n’y peut rien changer, excepté dans ses effets à court terme, sans cesse irrémédiablement remis en cause par le mécanisme lui-même ; ce qui n’est pas sans décourager les meilleures intentions, dès lors en conflit avec la priorité naturelle de chacun, qui est d’améliorer et garantir sa propre condition et celle de sa descendance. Reste à l’avantage des plus démunis le fait que l’homme ne doit pas oublier les devoirs que lui dicte, sinon la solidarité avec ses semblables, au moins la conscience de cette aide dont chacun peut avoir besoin un jour, nul n’étant à l’abri des vicissitudes de l’existence. C’est ainsi que la réduction des inégalités sociales finit par échoir à la société qui ne doit pas pour autant oublier que pour y parvenir elle doit veiller à son propre équilibre, notamment et avant toute autre mesure, en termes démographiques et environnementaux.


    Voir à ce sujet "Précis de pyramidologie sociale". Version papier & ebook avec option gratuite d’emprunt)

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