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jack Mandon

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  • Premier article le 14/08/2017
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  • 1 vote
    jack Mandon jack Mandon 30 juillet 2017 11:52

    C’est curieux comme un religieux peut quelques fois faire preuve d’une absence de pédagogie qui confine à la maladresse. Il est vrai que c’est le lot des religions monothéistes en particuliers qui nous balancent leurs sentences.

    Quelle que soit notre culture, nous sommes tous confrontés au terme de chaque chose et finalement au passage final obsédant .

    L’auteur a sans doute réglé ses problèmes. De son monde désormais clos, il retire l’échelle et par les injonctions testamentaires du légalisme de l’ancien testament, il nous dit peut-être sans en prendre conscience...démerdez-vous !

    Il ne se rend pas compte, mais le saint qui plaît à Dieu, selon lui, c’est une espèce de castrat, même pas pour le plaisir de faire carrière à la Scala di Milano.

    Alors des voix « martiales et sexuées » de protestation s’élèvent à l’unisson. L’auditoire agoravoxien déjà critique et quelque peu hermétique s’insurge.

    La foi, au sens large, ne peut être que la manifestation saine d’un instinct de vie. Le « tout de l’être », à l’indicible divinité du sourire d’un enfant, du spectacle rutilant de la flore et de la faune, de la créativité humaine et de l’écoute de l’autre dans la communication et globalement du désir d’aimer. Hélas toutes les religions confondues, surtout les plus turbulentes et sectaires sont devenues antinaturelles. Au diable les canons, pièces d’artilleries ou bulles légalistes. Les "ordres" et les "défenses", sont des entraves à l’expression vitale. Et pourtant la divinité primordiale est bien vivante dans notre imaginaire.





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    jack Mandon jack Mandon 27 juillet 2017 11:04

    @alanhorus

    Tout et son contraire reste possible

    Entre déterminisme et fatalisme, le premier comme hypothèse scientifique, le second comme théorie philosophique.


    Spinoza nous dit

    Le sentiment que nous avons d’être libre n’est-il pas une illusion ? Peut-être sommes nous conditionnés par des influences et des mécanismes dont nous ne sommes pas forcément conscients. Selon cette hypothèse, la liberté ne serait rien d’autre que l’ignorance des causes qui nous poussent à agir. Certaines philosophies vont même jusqu’à supposer un déterminisme intégral, un fatalisme, qui affirme la nécessité absolue des événements et qui fait de notre liberté une illusion.

    Exemple au hasard, Marcel Proust, grand névrosé, trouble, très souvent rejeté. Sa capacité d’arrêter le flux du temps. Un climat d’angoisse entraîne des métamorphoses. L’imaginaire devient envahissant.

    Personnellement, pour des raisons qui me sont partiellement inconnues, je gère mal le monde proustien et ne suis jamais parvenu à me laisser gagner par la magie que vantent d’autres lecteurs inconditionnels de Proust.

    Nous évoquions Engels et Marx. Que de passions autour de ces deux penseurs. Beaucoup de confusions et d’avis contradictoires autour de leurs oeuvres.

    J’ai du attendre un âge avancé pour découvrir Marx à travers Francis Cousin. Une manière de penser, une autre vision du monde entre la communauté de l’être et la société de l’avoir. Une dialectique qui m’ouvre des perspectives. Faut il encore faire la différence entre les concepts marxiens et les adaptations pour le moins douteuses et criminelles de la vision marxiste.

    Chacun fait son cheminement. Il faut tenter de rester libre dans le raisonnement. Se protéger aussi des médias qui vomissent en permanence leurs déjections.



  • 3 votes
    jack Mandon jack Mandon 26 juillet 2017 13:15

    @alanhorus

    La stupidité de ce crétin notoire est génératrice de rage, il ne terminera pas son mandat le salopard.

    Pour essayer d’élever le débat, voici un condensé dEngels qui peut s’appliquer à la cause vendéenne. La défense de la communauté de l’être qui s’oppose à la société de l’avoir.

    « Tous les mouvements de masse au moyen-âge portèrent nécessairement une figure religieuse et ils apparaissaient toujours comme des restaurations radicales du christianisme primitif à la suite d’une corruption envahissante... »
    - Engels, Contributions à l’Histoire du Christianisme primitif


  • 2 votes
    jack Mandon jack Mandon 26 juillet 2017 11:52

    @bob14

    Coalition terroriste anti Russe orchestrée par les USA pour assouvir le "lobby" juif de ce pays en pleine décomposition

    En, gros tout à fait. De Gaulle aurait eu plus de subtilité, d’intelligence et surtout de courage pour tendre la main à la Russie (européenne légitime). La place envahissante de l’empire américain, en fait l’ordre mondial de la marchandise, est insolente et démesurée. La multipolarité des influences politiques est bien sur préférable à la vision unipolaire qui conduit au mondialisme.

    Malgré tout le dégoût que m’inspirent les putes journalistiques, les politiques macroniens...et tous les autres minus de l’idéal humain, le capital en marche, Mammon, le Prince de ce monde est véritablement le maître d’une manière peut être irréversible. L’Europe vassalisée par les Etats-Unis, la tiédeur et le pragmatisme politique ambiant, cachent une situation délicate.

    Je crois que Marx avait raison, le Capital règne tyranniquement et seul sa disparition est souhaitable. Seulement, ce n’est pas un capitaine de navire, le capital, il risque nous causer bien des soucis en entraînant dans sa chute la terre entière, il est immoral



  • 1 vote
    jack Mandon jack Mandon 26 juillet 2017 08:43

    @alanhorus, Pegase et à tous les insurrectionnels

    Bien entendu, les vendéens du XVIIIe siècle étaient chrétiens et favorables au roi qui représentait, par l’investiture canonique de Rome, l’autorité divine sur la terre. Ils étaient donc partisans de l’ancien régime. Tous les manuels scolaires de notre enfance nous le révélèrent ainsi. Mais une analyse objective de l’histoire en profondeur sur plusieurs siècles est plus éclairante et surtout plus juste. Elle est surtout l’histoire authentique des peuples européens trompés et asservis. Rassurez vous, je n’ai jamais été séduit par le communisme stalinien ou autre saloperie estudiantine de Mai 68. Simplement attaché à mon pays.


    « Ce qui est essentiel ici c’est de saisir – en dépit des différences, discordances et contrastes - la continuité matricielle entre l’antériorité médiévale qui mènera à l’avènement de la grande monarchie classique telle qu’elle validera la mort du vieux rapport non mercantile à la terre et sa postériorité républicano-financière au sens où les agitations médiévales de 1251 et de 1320 qui conduisent à la grande jacquerie de 1358 puis aux embrasements de Guyenne en 1548, aboutissent aussi par la métamorphose des longues durées insurrectionnistes, aux Croquants et Nu-pieds et ce jusqu’à la Grande Peur de 1789, aux soulèvements chouans et vendéens qui annonceront la mort irrévocablement advenue au XIX° siècle de l’ancestrale communauté rurale désormais pleinement absorbée par le paysage agricole du destin capitaliste.

    Le son multiséculaire des cloches proclamant, de paroisse en paroisse, le tocsin de la dés-obéissance a été l’écriture vivante et charnelle de dizaines et de dizaines de générations campagnardes qui s’obstinaient à ne point accepter de disparaître dans la tyrannie montante des attractions de l’abstraction capitaliste exercée par la civilisation des villes. Cette immense, abondante et constante lutte de classe qui a d’ailleurs traversé toute l’histoire européenne pour la défense de la joie du terroir contre l’anonymat et la solitude du citadisme du profit, a finalement échoué mais pour passer le flambeau à un type de soulèvement bien plus vaste, beaucoup plus corpulent et immensément plus dangereux ; celui de l’irréversible colère des prolétaires, c’est à dire de tous les hommes d’aujourd’hui privés de toute autorité sur leur propre vie par le spectacle démocratique de la dictature salariale de l’argent omniprésent. »


    « De la croisade communeuse des Pastoureaux » Par Francis Cousin







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