Ce
n’est pas d’aujourd’hui que le monde s’est immobilisé dans
cette espèce de torpeur. Je développe ce que j’insinuais dans le
premier commentaire. Au temps de Moïse, de la rédaction du
pentateuque, « Mammon » était désigné comme le danger
majeur. Au temps de Jésus, on lui donnait le nom de « Prince
de ce monde ». Au XIXe siècle K.Marx l’appelait « Capital ».
Un écrivain valaisan du XXe siècle, Ramuz, le nomme, « la
grande peur dans la montagne. Au rythme de l’éveil des consciences
et des cultures il dévoile tous ses visages.
Contre
cet adversaire, les hommes insurrectionnels courageux qui
l’affrontèrent furent tous assassinés...Plus près de nous, Zola,
Jaurès, Gandhi, Martin Luther King et tant d’autres.Assassinés par par leurs frères, le comble.
Les
peuples des diverses sensibilités politiques ou religieuses ne sont
pas si différents, mais les chefs qui les manipulent, eux mêmes
conditionnés totalement par l’ordre mondial qui interfère au
coeur des principaux états du monde, ne sont plus libres.
Les
solutions ? Certainement pas des révolutions ou des guerres,
les souffrances populaires sont assez lourdes. Les responsables et les acteurs principaux,
visibles et invisibles sont les maîtres de tous les conflits.
La
première mesure serait de cesser cette mascarade électorale. Je
pense que les dernières élections devraient nous servir de leçon.
Utiliser les médias culturelles, cesser de se laisser conditionner
par les putes de l’information. Les seuls journalistes fiables et
honnêtes sont chômeurs ou appartiennent à des médias
marginalisées et peu connues. Internet est une immense
ressource,,,avec ses pièges.
Pour
le FN, pas besoin de les diaboliser, leurs dirigeants sont
incompétents. Le dernier débat foireux entre Marine aussi
incompétente que maladroite, en face d’un bel âtre, acteur de
série B, porte parole infantile de la finance. Le vide, le creux, la
misère culturelle, le n’importe quoi. La honte !
Au fond, il est manifeste que les informations parlent à notre corps et que la réflexion intervient ou pas dans un second temps.
"Ben pour moi il y en a beaucoup plus des finalités… La plus importante
étant la fécondité spirituelle du couple. Ce qui inclut l’amour, mais
pas seulement"
Nous avons pris conscience de ce document en même temps en étant naturellement préoccupés dans nos différences.
Quant à mon inquiétude, elle n’est ni spirituelle ni sexuelle, elle est politique dans l’urgence. Le reste est en bonne voie.
Comme toi, et cela depuis mon passage en théologie en 1965, Paul est la caricature, l’imposture du message évangélique de Jésus. Le premier pas de l’église d’état apostolique et romaine.
Je reçois André Gandillon là ou cela me semble bon, pour le reste, c’est sa vie.
J’ajoute, parce que je suis sincère et envahissant dans mes sentiments, je suis heureux que tu trouves du plaisir dans ces interventions épistolaires. Moins ours qu’il n’y parait, je ne vis pas sans amitié, même et surtout si elle est unilatérale.
L’Europe devenue comporte des structures matérialistes,
étatiques, supranationales. C’est un échec, hélas voulupar une espèce d’empire mondialiste, état mondial,
cercles mondialistes ennemis de la civilisation européenne, tout à
fait relayé par les eurocrates de Bruxelles. Le fondement
civilisationnel français est profondément latin, germanique, celte
et chrétien. L’Europe ne peut être une seule nation car elle est
depuis longtemps un ensemble de nations diverses très
personnalisées. La Russie est européenne. L’invasion de l’islam
politique est tout aussi contraire à l’Europe que l’emprise du
judaïsme politique, que l’était le fascisme de Mussolini ou le
nazisme d’Hitler.
La vision d’André Gandillon sur l’Europe, est une évidence
historique, civilisationnelle, raisonnable et sage. Elle répond aux
attentes légitimes de tous les peuples européens dans leurs
diversités incontournables.
Que font les hommes politiques, les médias, la finance ? Ils ne
représentent plus les peuples et les pays qu’ils manipulent, c’est
bien là le vrai problème.
Ce clip rafraîchissant du VIIIe siècle, en forme uchronique, humour noir consommé en niqab de la caricature religieuse, m’invite impérativement à m’immerger dans la nature pour me ressourcer.